La Rotonde
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Prismes
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Prismes

Prismes

Saison 2015-2016
22, 23, 24 octobre 2015, 20h
70 minutes
Pré-vente : 22 $ Tarif général : 35 $
6 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 23 octobre

Proposition chorégraphique hors normes, Prismes stimule les sens et défie la perception grâce à une intrigante alchimie de mouvement, de lumière et de son. Par des jeux délirants d’éclairage aux couleurs vives et fluctuantes et par des constructions gestuelles, anatomiques et scénographiques insolites, Benoît Lachambre et ses acolytes amplifient les altérations et les illusions visuelles. Ils sculptent et métamorphosent l’espace et les corps, posant sur eux un regard lucide, humoristique et absurde, pour détourner la conception qu’on se fait naturellement des choses. Et tout le processus de la représentation est ainsi démantelé! Cette expérience intense et déstabilisante, cette expérience totale, laissera immanquablement son empreinte dans l’esprit des spectateurs.

Crédits
Équipe artistique
Dans les médias

Chorégraphie : Benoît Lachambre
Interprétation : Elinor Fueter, Annik Hamel, Rachel Harris, Sylvain Lafortune, Alexandre Parenteau, Peter Trosztmer
Conseil artistique : Kathy Casey, avec la collaboration des interprètes
Lumières : Lucie Bazzo
Musique : Laurent Maslé, Tomas Furey
Direction technique : Karine Gauthier
Soutien à la création : Agora de la danse, Théâtre Hector-Charland
Photos : Montréal-Danse, Luc Sénécal

Benoît Lachambre

Benoît
Lachambre

Chorégraphie
Elinor Fueter

Elinor
Fueter

Interprétation
Annik Hamel

Annik
Hamel

Interprétation
Rachel Harris

Rachel
Harris

Interprétation
Sylvain Lafortune

Sylvain
Lafortune

Interprétation
Alexandre Parenteau

Alexandre
Parenteau

Interprétation
Peter Trosztmer

Peter
Trosztmer

Interprétation
Kathy Casey

Kathy
Casey

Consultation artistique
Lucie Bazzo

Lucie
Bazzo

Lumières
Laurent Maslé

Laurent
Maslé

Conception sonore
Karine Gauthier

Karine
Gauthier

Direction technique

Visuellement, Prismes est une toile impressionniste, teintée de 1001 couleurs et aux accents toniques parfois irritants de spontanéité. Fervent amateur de la technique release, laquelle prône entre autres la créativité et l’improvisation qui engendrent la disparition du stress et la détente des muscles, le chorégraphe laisse libre cours à des séances de babillements et de cris primaux ici et là.

— Réjeanne Bouchard, Info-culture.biz

Au final, Prismes est une pièce atypique qui garde l’œil en éveil. Tout ça semble n’avoir aucun sens, mais peut-être que oui finalement. Parce qu’après tout, tout n’est qu’illusion…

— Daphné Bédard, Le Soleil

Les extraits de la pièce nous offrent des images fortes, colorées, versant à l’occasion dans le sarcasme. Surtout lorsqu’elles font référence à ce que Benoît Lachambre appelle notre dépendance au divertissement. «L’oeuvre artistique est aussi le reflet d’une société qui veut être divertie de façon presque constante, explique-t-il. Cette dépendance est l’un des questionnements. Mais c’est fait de façon légère pour ne pas que ce soit moraliste.»

— Daphné Bédard, Le Soleil

Le chorégraphe Benoît Lachambre rend visible l’énergie qui habite chacun de nous, en jouant avec la lumière, les couleurs et les corps des danseurs pour stimuler les sens des spectateurs.

— Robert Boisclair, Les Enfants du Paradis

Ça emmène quelque part et ça fait beaucoup d’effet. De Prismes, la nouvelle création de Benoît Lachambre pour la compagnie Montréal Danse, on retient d’emblée cela. Comme dans une histoire d’amour, on ne saisit pas tout et on ressent des émotions contradictoires, mais il se passe quelque chose de réjouissant.

— Aline Apostolska, La Presse

«J’ai travaillé sur différents prismes de présence en jouant sur les genres masculin et féminin, sur différents codes sociaux et sur le rayonnement du corps, explique Lachambre. J’ai collaboré très étroitement avec l’éclairagiste Lucie Bazzo sur la façon dont la lumière interagit avec les corps, comment elle les transforme, comment elle laisse des traces dans la rétine et permet d’atteindre une certaine émotivité. On est entre l’illusion et le rêve.»

— Fabienne Cabado, Voir