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COMMUNIQUÉ – Fluide

COMPAGNIE DE QUÉBEC, LE FILS D’ADRIEN DANSE
ENFIN SUR LES PLANCHES DU GRAND THÉÂTRE!

Québec, le 27 novembre 2012 – Le Grand Théâtre de Québec est heureux d’accueillir, pour la toute première fois, Le Fils d’Adrien danse qui présentera FLUIDE, laplus récente créationdu chorégraphe Harold Rhéaume, du 11 au 13 décembre 2012 à 20 h, à la salle Octave-Crémazie.

LE FILS D’ADRIEN DANSE
> Fluide
11, 12 et 13 décembre 2012
Salle Octave-Crémazie
20 h
En coprésentation avec La Rotonde,
Centre chorégraphique contemporain de Québec.

Reconnu pour sa démarche et sa créativité, Harold Rhéaume propose avec FLUIDE une réflexion sur les relations humaines et sur la place de l’individu dans la collectivité. Campée dans un décor aux résonnances architecturales épurées et modernes, la chorégraphie met en scène sept jeunes interprètes nouant et dénouant des liens au fil de trajectoires éclatées. Tantôt fusionnelle, tantôt chaotique, la gestuelle exprime toute la complexité des rencontres humaines, entre spontanéité et dépassement de soi, face à la force d’attraction et l’adversité de la communauté.

La production d’un spectacle de l’envergure de FLUIDE implique une collaboration très soutenue entre le chorégraphe, les interprètes et plusieurs autres créateurs qui contribuent au développement de la pièce par les regards uniques qu’ils posent sur la chorégraphie. On y perçoit ainsi une esthétique très travaillée à travers les costumes de Philippe Dubuc, la musique de Simon Elmaleh et la scénographie de Bernard White.

Photo: David Cannon

De 46 $ à 48 $, de 37,60 $ à 39,60 $ (étudiants). Taxes et frais de service inclus.
Frais variables selon le mode d’achat.
Billets disponibles à la billetterie du Grand Théâtre de Québec, dans le réseau BILLETECH,
en téléphonant au 418 643-8131 ou au 1 877 643-8131 partout ailleurs ou en naviguant sur
le site www.grandtheatre.qc.ca

Version PDF du communiqué de Fluide

– 30 –

Source : Lucie Cloutier
418 643-8111 #2113
lcloutier@grandtheatre.qc.ca

L’Artère – Stage avec Ami Shulman

Ami Shulman
19 au 23 novembre, 9h30 à 11h30

Grand studio de La Rotonde

7$ la classe, membre
15$ la classe, non-membre
Non admissible RQD

Description de la classe
Ami donne une classe extrêmement dynamique qui intègre le travail au sol comme un élément essentiel pour explorer les connexions corporelles et la conscience proprioceptive. Son enseignement est axé sur l’efficacité et la clarté du mouvement, libérant ainsi la forme et permettant une expression physique plus subtile et articulée. Son approche élargit les possibilités d’interprétation du danseur en favorisant le potentiel de mouvement de l’individu.

Biographie
Artiste de la scène, enseignante et répétitrice, Ami Shulman a été formée en Afrique du Sud et en Europe. Récipiendaire du prix Amanda Holmes pour la chorégraphie, Ami a dansé pour plusieurs chorégraphes et compagnies de renommée internationale tels que Gregory Maqoma et Vuyani Dance Theatre, the State Theatre Opera, Zab Maboungou, Butch Rovan, Jose Navas and Marie Chouinard. Elle a également travaillé en collaboration avec José Navas et Marie Chouinard comme de répétitrice. En tant que professeure invitée, Ami a enseigné à Juillard School, Jacob’s Pillow, l’École nationale de théâtre du Canada, l’université de Californie à San Diego, l’École de danse contemporaine de Montréal, Ballet Divertimento, TransformationDanse et dans le cadre du projet Springboard. Au cours de sa carrière de formatrice, elle a eu l’occasion d’enseigner aussi au Cirque du Soleil, l’Académie de danse Rotterdam et les universités Brown et Concordia. Ami intervient aussi dans le domaine du théâtre. Elle a collaboré pour la mise en mouvement avec la metteure en scène Arianna Bardesono pour la pièce Macbeth de Repercussion Theatre , Mark Lawes et le Grand Theatre Junction pour la pièce Lucy Lost Her Heart et Yael Farber pour sa production The Crucible and Kadmos à L’École nationale de théâtre du Canada. Ami Shulman poursuit toujours sa route aux quatre coins du globe, mettant à profit ses différentes expertises en danse et en mouvement.

Inscription à artere.quebec@gmail.com
ou directement à Anne-Pier annepier.dion@hotmail.com

À surveiller prochainement

Frey Faust
Axis Syllabus
26 au 30 novembre
9h à 12h

12$-15$ la classe
Admissible RQD

 

John Ottmann
Ballet Classique
17 au 21 décembre
10h à 12h

7$-15$ la classe
Non admissible RQD

 

Politique d’annulation
En cas de désistement de votre part, vous devez nous aviser au moins cinq jours ouvrables avant le début de la formation, faute de quoi, les frais d’inscription ne pourront être annulés. Les annulations d’inscription de dernière minute seront tolérées seulement en cas de blessure ou d’empêchement majeur. Pour annuler votre inscription, contactez Véronique Jalbert le plus tôt possible à l’adresse de L’Artère. Merci de votre compréhension.

Soirée Halloween au Sacrilège !!! Party de financement pour le collectif Arielle et Sonia

COMMUNIQUÉ

Le collectif « Arielle et Sonia » vous invite à leur soirée d’Halloween mercredi le 31 octobre 2012 au bar le Sacrilège!

Les fonds amassés lors de cette soirée-bénéfice iront à la production du spectacle Les femmes de la Lune rouge, qui aura lieu au Musée de la civilisation en février 2013 !!! Sur chaque pinte de bière, 0,75$ sera remis au collectif!

Le collectif «Arielle et Sonia», composé de Arielle Warnke St-Pierre et Sonia Montminy proposera un duo de danse contemporaine d’une durée de trente (30) minutes, créé et présenté à même la salle d’exposition Samouraï. Chefs-d’œuvre de la collection Ann et Gabriel Barbier-Mueller, au Musée de la civilisation de Québec. L’œuvre sera réalisée par la chorégraphe montréalaise Annie Gagnon et interprétée par Sonia Montminy et Arielle Warnke St-Pierre, accompagnées en direct du musicien Josué Beaucage.

-30-

Pour plus de renseignements, prière de communiquer avec Sonia Montminy sur sonia_bailar@hotmail.com ou au 581-307-6177.

愛 Aï de Jocelyne Montpetit dans le cadre de l’événement Aimer! organisé par le Musée de la civilisation

Dans le cadre de l’événement Aimer! organisé par le Musée de la civilisation


Par Jocelyne Montpetit
Dimanche 4 novembre 2012
14 h et 16 h 30
Musée de la civilisation
Durée: 20 minutes

Droits d’entrée au Musée requis

Aï, en japonais signifie Amour. La chorégraphe et interprète Jocelyne Montpetit incarne à travers ce solo une héroïne d’un autre temps qui cherche à travers les ruines de Tokyo son enfant mort. Elle se laisse ainsi traverser par l’amour, la folie et le deuil dans cette danse de la métamorphose comme elle seule peut le faire. Présenté en première au Québec, dans la salle de l’exposition Samouraï. Chefs-d’œuvre de la collection Ann et Gabriel Barbier-Mueller.

Ayant travaillé notamment avec les maîtres fondateurs de la danse butô, Tatsumi Hijikata et Kazuo Ohno, et après plus de 25 ans de créations qui font état de la fragilité de l’être humain, Jocelyne Montpetit s’installe comme une figure unique, incontournable de la danse québécoise et canadienne.

Source: Musée de la civilisation, Aimer!

L’éducation aux arts est un facteur de réussite scolaire et sociale

Article d’Isabelle Paré, paru dans Le Devoir, le 18 octobre 2012

Décrochage moindre, meilleures notes et meilleures perspectives d’emploi sont relevés dans une étude de la firme de recherche canadienne Hill Strategies

L’art à l’école, un facteur de réussite? Peut-être bien que oui. Une étude publiée par la firme de recherche canadienne Hill Strategies démontre que l’éducation aux arts chez les jeunes améliore non seulement les résultats scolaires des élèves plus défavorisés, mais augmente leurs chances de réussite professionnelle une fois adulte et en fait des citoyens plus engagés dans leur communauté.

La conclusion découle d’une analyse effectuée par le groupe Recherche sur les arts, qui a examiné en profondeur cinq méta-analyses réalisées ces dernières années en Angleterre, en Australie et aux États-Unis. La plus récente, effectuée en mars dernier par le National Endowment for the Arts (NEA) américain à partir de quatre bases de données des ministères de l’Éducation et du Travail, constate que les jeunes des classes les plus démunies sont ceux qui semblent tirer le plus profit de l’exposition aux arts en bas âge et à l’adolescence.

L’impact positif se répercute non seulement sur la réussite scolaire liée aux arts, mais sur les aptitudes rédactionnelles, la compréhension des mathématiques et le dossier scolaire global. L’étude trace même une corrélation entre l’initiation à la chose culturelle et de meilleurs taux de diplomation au secondaire, au collège et à l’université pour les élèves de milieux pauvres.

«Que les élèves aient participé à des activités artistiques à l’école, ou en parascolaire, plus le seuil d’exposition aux arts est élevé, plus l’impact semble important sur la réussite scolaire des élèves de milieux socio-économiques à risque», a expliqué hier Kelly Hill, le président de Hill Strategies et auteur de l’analyse.

L’intérêt des données colligées par le NEA est d’avoir pu suivre l’évolution de jeunes élèves pendant plusieurs années, notamment de la maternelle à l’âge de 13 ans pour une des bases de données, de 14 à 26 ans, de 16 à 20 ans, puis de 23 à 27 ans pour les trois autres bases de données.

Sus au décrochage

Les chiffres sont surprenants. Des exemples. Le taux de décrochage au secondaire atteint 22% chez les élèves privés d’exposition aux activités culturelles, contre seulement 4% de leurs collègues initiés aux arts à l’âge scolaire. Plus tard dans leur parcours, 71% des élèves défavorisés initiés à l’art ont réalisé des études collégiales après le secondaire (high school), contre seulement 48% des élèves de même niveau socio-économique dépourvus du même accès. Les élèves considérés à risque étaient plus que deux fois plus nombreux à avoir obtenu un diplôme collégial s’ils faisaient partie de la cohorte la plus exposée aux arts dans l’enfance (39% contre 17%).

Au niveau universitaire, seulement 6% des jeunes provenant de milieux défavorisés parviennent à obtenir un baccalauréat, constate l’étude du NEA. Mais ce taux grimpe à 18% chez ceux qui avaient pu participer à des activités culturelles en bas âge.

«L’art fonctionne», résume en guise d’introduction à l’une des études-chocs Rocco Landesman, le président du NEA, déplorant que depuis 40 ans, les arts soient de plus en plus évacués du cursus scolaire des élèves américains au profit des sciences ou de cours d’anglais.

Citoyens plus engagés?

Par la bande, les mêmes données mènent à d’autres constats étonnants. Comme le fait que l’exposition à l’art augmente fortement la reconnaissance par les pairs, l’engagement dans des activités bénévoles ou communautaires, la lecture quotidienne d’un journal (!) et même la participation au vote dans leur région (29% chez les non-initiés, contre 43%).

Les répercussions se font sentir jusque sur le marché du travail, les jeunes défavorisés s’étant frottés aux arts étant deux fois plus nombreux à occuper des postes de direction ou dans l’enseignement à l’âge adulte, et trois fois plus nombreux dans les professions médicales.

Dans plusieurs cas, la chance d’avoir été initié tôt à la culture éliminait l’écart de réussite normalement observé entre les élèves démunis et ceux plus favorisés. «Je pense que l’éducation aux arts est non seulement importante pour les milieux artistiques et les comportements culturels futurs des jeunes, mais cela est important pour leur succès dans la vie en général. Être initié à l’art jeune veut dire plus qu’en apprendre sur les arts. Cela développe toutes sortes d’aptitudes fondamentales à d’autres types d’apprentissages», fait valoir M. Hill.

Source: Le Devoir, Isabelle Paré

 

 

Voir la page Marquer la danse

Le Festival Québec en toutes lettres présente La chute du piano de Rhizome et éclats

COMMUNIQUÉ
pour diffusion immédiate

La chute du piano
où Gilles Deleuze et John Cage discutent
d’un spectacle dans lequel un piano chuterait

Présenté au Festival Québec en toutes lettres
Samedi 13 octobre 2012 à 20 h à la salle Multi de la Coopérative Méduse
(59, rue de Saint Vallier Est)
Adolescents et adultes. Macaron obligatoire,
réservation recommandée 418 641-6788, poste 125
ou par courriel info@quebecentouteslettres.com

Il est question dʼun piano qui chute, dʼune auteure qui chute, dʼun chanteur qui se tient sur un point élevé, dʼun danseur étendu par terre. Il est question dʼun philosophe et dʼun musicien qui discutent du projet de faire un spectacle dont le sujet (et le titre) serait la chute du piano. Ce philosophe et ce musicien, Gilles et John, sont des personnages inventant le spectacle
qui est en train de se faire par des personnes réelles. Cʼest lʼenvers. Lʼendroit étant le plateau où les artistes se tiennent, où les images et les scènes – faites de poésie et de pixels – se font et se refont jusquʼau point dʼimpact, la chute du spectacle.

Éclats et Rhizome proposent un projet hybride entre poésie, danse et musique. Une collaboration
franco-québécoise, une rencontre interdisciplinaire autour des figures du philosophe Gilles Deleuze et du compositeur John Cage.

Textes: Virginie Barreteau – Simon Dumas
Mise en scène : Simon Dumas – Gilles Baron
Avec: Mélanie Therrien – Nicolas Jobin – Erik d’Orion – Simon
Dumas – Gilles Baron – Sylvio Ariola – Luke Dawson –
Normand Bissonnette – Kevin McKoy
Équipe de création: Stéphane Guignard – Jean-François
Dugas – Camille Téqui – Marc Doucet – Julie Lévesque

Festival Québec en toutes lettres

L’Artère – Causerie avec Mélanie Demers à la Ninkasi le 3 octobre à 18h

 

Mélanie Demers sera des nôtres pour une causerie qui aura lieu ce 3 octobre à La Ninkasi à 18h. Échanger, parler, débattre en toute simplicité ! Par la même occasion, vous contribuerez au financement de L’Artère en vous procurant des coupons de consommation au coût de 5$. Les coupons achetés lors de la soirée de financement du 11 juillet dernier à La Ninkasi seront encore valides.

Bienvenue !

L’Artère – Stage avec Jocelyn Paradis

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Jocelyn Paradis

Classe de ballet
16-17 et 30-31 octobre, 10h30 à 12h
8-9 et 15-16 novembre, 10h30 à 12h
Studio Pro et RDC
30-31 octobre et 15-16 novembre Studio PRO
16-17- octobre et 8-9 novembre Studio RDC

2 cours par semaine

Jocelyn Paradis offre des classes de ballet pour les danseurs professionnels. Nous souhaitons mettre en place deux cours de ballet par semaine à La Rotonde avec Jocelyn Paradis. Ces 4 premières semaines sont un essai pour connaître l’interêt de la communauté de Québec de s’entraîner sur une base réguilière, tout au long de l’année. Possibilité de prendre un seul bloc, ou plusieurs.

Studio Pro (avec barres) et Studio RDC (sans barres)
336 rue du Roi, 2è étage, Québec

12$ la classe tarif membres
15$ la classe tarif non-membres
Admissible RQD

Inscription
artere.quebec@gmail.com
ou directement à Ariane
arivoineau@gmail.comarivoineau@gmail.com

Biographie

Jocelyn Paradis a commencé sa carrière en tant que musicien, athlète et patineur artistique. Il découvre la danse à l’école des Ballets Jazz de Québec et à Acadanse avec Sylvie Pagé et Danielle Lauzane, puis poursuit sa formation à l’Académie des Grands Ballets Canadiens de Montréal, où il travaille avec Daniel Seillier, Christine Clair, Fernand Nault et plusieurs autres. En 1984, il devient membre de la compagnie des Grands Ballets Canadiens et danse des opéras, des comédies musicales et des chorégraphies de Danny Grossman, James Kudelka, Ginette Laurin, Lar Lubovitch, Fernand Nault et plusieurs autres grands classiques comme Casse-Noisette, spectacle auquel il participe depuis plus de vingt ans. Pendant ce temps, il poursuit son entraînement avec des maîtres de renommée internationale invités par la compagnie. Ayant dansé pour sept compagnies, dont la Fondation Jean-Pierre Perreault, Howard Richard Dance Company et la compagnie Danse Partout, il a participé à près de 800 spectacles dans dix-sept pays. Son plus grand rôle fut celui de danseur principal dans Le sacre du printemps, une chorégraphie de James Kudelka, une tournée de trois ans présentée en Europe, aux États-Unis et au Canada. Il partage avec bonheur ses connaissances à titre d’enseignant au secteur professionnel et au secteur loisir de L’École de danse de Québec.

Politique d’annulation

En cas de désistement de votre part, vous devez nous aviser au moins cinq jours ouvrables avant le début de la formation, faute de quoi, les frais d’inscription ne pourront être annulés. Les annulations d’inscription de dernière minute seront tolérées seulement en cas de blessure ou d’empêchement majeur. Pour annuler votre inscription, contactez Véronique Jalbert le plus tôt possible. Merci de votre compréhension.

Vous n’êtes pas encore membre de l’Artère ?

Faites-nous parvenir par la poste ou en main propre votre curriculum vitae mis à jour, le formulaire d’adhésion et votre paiement en espèces ou en chèque (au nom de L’Artère) à
L’Artère, 336 rue du Roi, suite 205, Québec (Québec) G1K 2W5.