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Les Journées de la Culture – Lancement de Marquer la danse

C’est aujourd’hui, à 13 h 30, que le concours Marquer la danse sera lancé, dans le Grand studio de La Rotonde. Cette année, le concours d’écriture chorégraphique sera ouvert à toutes les écoles secondaires de la province où la danse est enseignée.

De plus, aujourd’hui, à cette même heure, tous sont les bienvenus à participer à l’atelier Marquer la danse animé par l’enseignante Caroline Paré du Collège de Champigny pour démystifier la création en danse.

Au plaisir !
L’équipe de La Rotonde

 
 
 

La Rotonde remercie Telus et l’Entente de développement culturel MCC – Ville de Québec pour leur soutien à Marquer la danse.

 
 
 
 
 

 

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La danse sur les routes – Un conseil d’administration sous le signe de la continuité dont fait partie Steve Huot de La Rotonde

C’est devant trente-cinq personnes que La danse sur les routes du Québec tenait hier sa seconde assemblée de membres, selon sa nouvelle forme d’organisation. L’organisme a fait état d’un bilan exceptionnel de la saison 2011-2012:
En 2011-12, les québécois ont pu apprécier 73 représentations de 26 spectacles présentés par 14 diffuseurs, dans dix régions. À cela il faut aussi ajouter les 20 représentations de Jouer dehors. Au total, ce sont 93 représentations et plus de 30 000 personnes qui ont assisté à un spectacle ou qui ont pris part à l’une des 232 activités d’initiation à la danse!

Par ailleurs, Jouer dehors a pris la forme d’un programme d’accompagnement pour les compagnies désireuses de défricher le marché des événements d’été. Parcours Danse a rassemblé 200 participants dont plus de 70 représentants d’organismes de diffusion. De nouveaux horizons ont été ouverts à la danse dans les programmations d’été. La circulation des spectacles du Québec vers le reste du Canada a été facilitée par la collaboration assidue avec les réseaux canadiens de diffusion de la danse. Le Répertoire danse a rassemblée plus de 200 propositions de spectacles de 65 compagnies et chorégraphes. Les formations ont largement débordé le réseau habituel et ont attiré des agents de développement de tout le Québec. D’autres diffuseurs se sont ajoutés aux réunions de programmation et aux autres activités de La DSR. L’équipe a été présente dans d’innombrables événements de réseautage et a fait valoir l’extraordinaire diversité de la création en danse. De nouvelles sources de revenus ont été trouvées, permettant au chiffre d’affaires de poursuivre son ascension.

Enfin, ce fut l’occasion d’offrir un hommage à Benoit Vaillancourt qui se retire après plus de quinze ans d’engagement envers le mandat de La DSR. La finesse de son analyse et son amitié nous manqueront.

Claude de Grandpré, président
Directeur général et artistique, Théâtre Hector-Charland

Kathy Casey, vice-présidente
Directrice artistique, Montréal Danse

George Krump, trésorier
Directeur général, Louise Bédard danse

Luce Couture, secrétaire
Directrice de programmation, Théâtre Centennial

Jacinthe Achard, administratrice
Directrice de la programmation, Diffusion Saguenay

Daniel Bélanger, administrateur
Directeur artistique et chorégraphe, Code Universel

Hélène Blackburn, administratrice
Directrice artistique, Cas Public

Sylvain Émard, administrateur
codirecteur général/artistique, Sylvain Émard Danse

Steve Huot, administrateur
Directeur général et artistique, La Rotonde

François Hurtubise, administrateur
Coordonnateur de la programmation, Maison des arts de Laval

Priscilla Guy
Chorégraphe indépendante, Madoline Hybride

Source : La danse sur les routes

Prix de reconnaissance Essor – Coup d’envoi de la rentrée culturelle en milieu scolaire

Lévis, le 21 septembre 2012. – C’est aujourd’hui que le coup d’envoi de la Rentrée culturelle 2012-2013 a été donné dans les écoles du Québec. L’événement s’est déroulé à L’Anglicane de Lévis, en présence de la nouvelle porte-parole pour la promotion de la culture à l’école, la chanteuse Brigitte Boisjoli, et de l’interprète de la chanson-thème, William Deslauriers.

La ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Marie Malavoy, et le ministre de la Culture et des Communications, M. Maka Kotto, ont tenu à souligner l’importance de l’école comme lieu de sensibilisation aux arts et à la culture.

«Les enseignantes et enseignants sont nombreux à placer la culture au cœur des projets pédagogiques. Ils font un travail exceptionnel à cet égard et il est essentiel de soutenir leur engagement, qui permet aux élèves de développer leur créativité, leur sensibilité et leurs talents, tout en les amenant à s’ouvrir davantage sur le monde», a fait savoir la ministre Malavoy.

«Multiplier les expériences culturelles dans les écoles, c’est permettre aux élèves de se dépasser et de réaliser pleinement leur potentiel. C’est aussi leur donner une raison de plus d’aimer l’école et de persévérer dans leurs études. Je tiens à adresser mes plus sincères remerciements aux pédagogues et aux artistes. Votre travail porte ses fruits lorsqu’on voit la jeune génération toujours plus passionnée et curieuse», a ajouté le ministre Kotto.

La culture, toute une école!

L’année culturelle 2012-2013 dans les écoles du Québec se vivra à travers différentes activités, notamment le Mois de la culture à l’école, et au rythme de la nouvelle chanson-thème 2012-2015, «La culture, toute une école!». La pièce, interprétée par William Deslauriers, a été composée par les élèves de l’école primaire du Marais, à Gatineau, et de la polyvalente de Normandin à la suite d’un concours organisé l’an dernier.

Par ailleurs, la chanteuse Brigitte Boisjoli s’est dite enchantée de son rôle de porte-parole pour la promotion de la culture à l’école. «Le fait de participer à des projets et à des événements culturels à l’école constitue une grande source de motivation et favorise l’estime de soi. J’encourage tous les jeunes à faire de leur école un lieu de vie dynamique et stimulant», a-t-elle déclaré.

Deux prix régionaux de reconnaissance Essor décernés

En plus d’avoir souligné le lancement des activités culturelles en milieu scolaire, l’événement d’aujourd’hui a également permis d’amorcer la tournée des remises régionales des Prix de reconnaissance Essor, avec le dévoilement des projets gagnants dans les régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches. Il s’agit de:

L’école de la Ruche, de Lévis, pour son projet Image

Image est né d’un parfait agencement entre la musique et les arts plastiques, qui s’est traduit concrètement par un ensemble d’ateliers consacrés à l’apprentissage de chansons et à la création de pièces en céramique. Les 187 élèves de 1re, 2e et 3e années du primaire de l’école de la Ruche ont vécu une véritable expérience artistique. Deux personnes-ressources du milieu culturel ont, en collaboration avec les enseignants, animé des ateliers d’art. L’expérience a été couronnée par la mise en place d’une exposition collective, la production d’un disque compact ainsi que la présentation de deux concerts à l’intention de la communauté: des réalisations dont l’école et les élèves tirent une immense fierté.

M. Guy Larose, directeur de la Direction régionale de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Brigitte Boisjoli, porte-parole de La culture à l’école, M. Steve Huot, directeur général et artistique de La Rotonde, Mme Caroline Paré, enseignante responsable du projet du Collège de Champigny, et Mme France Dionne, sous-ministre adjointe au ministère de la Culture et des Communications. Photo : Roch Théroux

Le Collège de Champigny, de Québec, pour son projet Marquer la danse, conversation chorégraphique entre le milieu scolaire et professionnel

Munis de leur plume, habités par leurs idées créatrices, leurs propos engagés ou leur vision poétique, les élèves ont pu mobiliser leurs connaissances et leur savoir-faire pour imaginer une chorégraphie qui serait interprétée par des professionnels de la danse. Par ce projet ambitieux, le Collège de Champigny, en collaboration dynamique avec le Centre chorégraphique contemporain La Rotonde, a ainsi fait naître une réelle conversation chorégraphique entre le milieu scolaire et professionnel.

Les deux écoles, à l’instar des autres récipiendaires des prix régionaux qui seront remis aux quatre coins du Québec au cours de l’automne, reçoivent une bourse de 2 000$, accordée conjointement par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport et le ministère de la Culture et des Communications. Elles deviennent aussi finalistes pour l’un des prix nationaux qui seront remis à l’occasion du grand gala des prix Essor, en février prochain.

Rappelons que les Prix de reconnaissance Essor soulignent chaque année le travail et la passion des pédagogues et des responsables scolaires qui assistent les jeunes dans la réalisation de projets novateurs et imaginatifs, en étroite collaboration avec les ressources culturelles du milieu.

Pour plus d’information, voir le site du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport au www.mels.gouv.qc.ca/culture.

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Source: Ministère de la Culture et des Communications

 

La Rotonde remercie Telus et l’Entente de développement culturel MCC – Ville de Québec pour leur soutien à Marquer la danse.

 
 
 
 
 
 

 

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Le Collège de Champigny reçoit le prix régional Essor

M. Guy Larose, directeur de la Direction régionale de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Brigitte Boisjoli, porte-parole de La culture à l’école, M. Steve Huot, directeur général et artistique de La Rotonde, Mme Caroline Paré, enseignante responsable du projet du Collège de Champigny, et Mme France Dionne, sous-ministre adjointe au ministère de la Culture et des Communications. Photo : Roch Théroux

Ce matin, environ 200 personnes étaient réunies au théâtre L’Anglicane, à Lévis, pour le lancement de la rentrée culturelle en milieu scolaire et la remise de deux prix régionaux Essor, qui ont pour but de mettre en valeur les disciplines artistiques enseignées à l’école, pour les régions de Québec et Chaudière-Appalaches.

L’école de la Ruche de Lévis a été récompensée pour son projet Image et le Collège de Champigny pour le projet Marquer la danse.

Caroline Paré et Steve Huot ont expliqué Marquer la danse et Sarah Therrien, élève du collège, a dirigé les danseurs Jean-François Duke, Geneviève Duong et Mélanie Therrien dans un des tableau de son projet d’écriture chorégraphique. Une présentation qui démontrait le travail fait avec des artistes professionnels lors du stage de réécriture du concours.

Nous saurons en février si le Collège et La Rotonde se mériteront un prix de reconnaissance Essor. Jusqu’à maintenant, le Collège de Champigny s’est vu décerner le Prix Éducation Artistique et le Prix Culture.

 
 

En attendant, l’atelier Marquer la danse sera offert lors des Journées de la Culture, le 28 septembre prochain, et nous accueillons les projets pour l’édition 2012-2013 du concours d’écriture chorégraphique Marquer la danse jusqu’au 1er novembre.

 

La Rotonde remercie Telus et l’Entente de développement culturel MCC – Ville de Québec pour leur soutien à Marquer la danse.

 
 
 
 
 
 

 

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Souffle le vent de Louise Legendre à l’espace contemporain – La danse inspire la peinture


COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Pour diffusion immédiate

SOUFFLE LE VENT
Un SECOND solo à L’espace contemporain pour LOUISE LEGENDRE

Québec, le 12 septembre 2012 – L’espace contemporain galerie d’art, 313, rue Saint-Jean, recevra, du 25 au 30 septembre 2012, pour une seconde fois en solo, l’artiste Louise Legendre dans le cadre de l’exposition SOUFFLE LE VENT. Le vernissage aura lieu mercredi le 26 septembre de 17h à 19h. Vous y êtes cordialement invités. Le public aura accès à la galerie aux heures suivantes : mardi et mercredi de 12h00 à 18h00, jeudi et vendredi de 12h00 à 20h00, samedi et dimanche de 12h00 à 17h00.

Passionnée par la danse, Louise Legendre essaie de traduire la légèreté du mouvement autant en sculpture qu’en dessin. Toute matière, par son poids, lui impose un ancrage au sol qu’elle essaie de déjouer. Exprimer la légèreté dans un matériau est donc un véritable défi qui la pousse au travail. Il faut trouver des solutions pour contourner la limitation.

Elle a d’abord expérimenté l’argile pendant quelques années pour ensuite se tourner vers la pâte de papier sur armature de métal grillagé. Elle y ajoute une base de plastique. Cette dernière technique permet d’exploiter la transparence, très intéressante dans l’objectif qu’elle poursuit qui est de créer une oeuvre aux allures aériennes. Depuis quelques temps, elle a commencé à intégrer la lumière dans ses socles. Louise Legendre est intéressée par la frontière délicate entre la matière et la représentation, au moment où la forme émerge. Ses sculptures ont généralement des contours indéfinis, parfois inachevés et ses dessins laissent souvent aussi cette impression de flou.

En ce qui concerne son travail en deux dimensions, elle utilise une technique mixte très libre qui s’est imposée d’elle-même avec le temps. Elle aime beaucoup travailler avec des déchirures, des fragments et du collage auxquels elle intègre un tracé nerveux à l’encre ou au pastel. Ses bouts de papier sont des morceaux de couleur qu’elle utilise comme si elle peignait. Elle dessine, elle déchire, elle colle, elle redessine, elle superpose, elle ajoute ou enlève… Elle se laisse guider par ce qui survient pour construire une image. Cette technique permet un travail très spontané, près de la main et du geste. Elle aime beaucoup quand un travail laisse percevoir le geste ou la trace de ce geste. Le résultat garde un aspect brut qui traduit bien la vivacité du mouvement. Plusieurs de ses dessins-collages servent de matrice à des agrandissements monochromes par reprographie. Il en résulte une grande image lisse mais qui laisse deviner le travail et la texture du dessin d’origine. D’où le sentiment étrange et intéressant de regarder une image à la fois présente et devinée, à la fois immédiate et lointaine mais de facture très actuelle. Elle intervient souvent à nouveau sur ces images avec des bâtons d’huile, de l’encre ou de l’acrylique.

Louise Legendre a choisi de présenter dans un même espace des sculptures et des dessins-collages qui peuvent facilement cohabiter et même s’enrichir mutuellement puisqu’ils naissent tous d’une même préoccupation. Au total, une vingtaine de tableaux et dix sculptures réparties sur des socles ou au sol dans une alternance dynamique.

Louise Legendre possède un baccalauréat et une maîtrise en arts visuels depuis 2005. Souffle le vent est sa quatrième exposition individuelle

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Sources :
Michel Therrien : 418-648-2002
Louise Legendre : 418-650-0364

L’Artère – Stage avec Mélanie Demers

Stage avec Mélanie Demers
1er au 5 octobre 2012 de 10 h à 11 h 30
Au Studio Pro de La Rotonde, 336, rue du Roi, 2e étage, Québec

Description de la classe
La classe proposée par Mélanie Demers est construite dans l’esprit d’un métissage de différentes techniques de danse contemporaine, de release et de travail au sol. Pendant le réchauffement, l’accent est mis sur la respiration et l’enracinement au sol ainsi que sur l’importance de la responsabilité individuelle de chaque danseur à renouer avec le potentiel créateur dans l’appropriation du mouvement.

Pour vous inscrire, communiquez avec l’Artère, développement et perfectionnement en danse contemporaine

Biographie
Mélanie Demers est interprète, chorégraphe et directrice artistique de la compagnie Mayday. Avec la danse, elle crée un langage où le geste rencontre la parole. Née à Montréal, Mélanie étudie d’abord la danse, la littérature et le théâtre à Québec, puis, termine son cursus artistique dans sa ville natale avec un diplôme de LADMMI (L’École de Danse Contemporaine) en 1996. À l’issue d’un passage de près de huit ans chez O Vertigo, Mélanie Demers s’aventure sur les chemins de la création avec verve et aplomb.

Au sein de Mayday elle signe Les Angles Morts (2006), Sauver sa Peau (2008) et Junkyard/Paradis (2010). Le plus récent opus, Goodbye (2012), a vu le jour en première mondiale dans le cadre de la dernière édition du FTA. Menant de front une carrière conciliant aspirations artistiques et engagement social, Mélanie voyage et enseigne la danse du Kenya au Brésil et du Niger à Haïti, où elle est impliquée dans la mise sur pied d’un programme artistique dans un centre culturel.

En entité nomade, Mayday multiplie les collaborations internationales et peut affirmer, en seulement cinq ans d’histoire, d’être l’une des rares compagnies canadiennes à s’être déjà produite en Amérique, en Europe, en Asie ainsi qu’en Afrique.

Extraits vidéos

*Politique d’annulation
En cas de désistement de votre part, vous devez nous aviser au moins cinq jours ouvrables avant le début de la formation, faute de quoi, les frais d’inscription ne pourront être annulés. Les annulations d’inscription de dernière minute seront tolérées seulement en cas de blessure ou d’empêchement majeur. Pour annuler votre inscription, contactez Véronique Jalbert le plus tôt possible à l’adresse de L’Artère. Merci de votre compréhension.

Le prix Jacqueline-Lemieux à Crystal Pite

Brève parue dans Le Devoir, le 5 septembre 2012

C’est la chorégraphe de Vancouver Crystal Pite, fort aimée du public et des critiques, qui a remporté le prix Jacqueline-Lemieux 2012, décerné chaque année par le Conseil des arts du Canada au « meilleur candidat du Programme de subventions aux professionnels de la danse ».

Excellente danseuse, Crystal Pite s’est démarquée depuis quelques années comme chorégraphe au sein de sa compagnie Kidd Pivot, où elle signe des oeuvres fines, bien composées, souvent émouvantes. Au Québec, on a vu récemment The You Show au Festival TransAmériques, à l’Agora de la danse et à La Rotonde. Étaient également passés ces dernières années : l’excellent Dark Matters à l’Agora de la Danse en 2009, ainsi que, chez Danse Danse, le magnifique Émergence, écrit pour le Ballet national du Canada en 2010. Pite remporte une bourse de 6000 $.