La Rotonde
En
En

Author Archive

À propos de «Heart as Arena»

Considérez l’énergie dans un contexte romantique. Voyez-la du point de vue d’un amoureux ou d’une amoureuse, lorsque l’étincelle se produit et vous transporte. (Think of energy as romantic. Think of it as a lover, or the idea of a lover, as the spark that makes matter) – Natalie Angier

Notes de la chorégraphe

La transmission sans fil de données nous place dorénavant au centre d’un paradoxe entre distance et intimité. Dans Out of the Dark : Notes on the Nobodies of Radio Art (1992), Gregory Whitehead écrivait que la radio impliquait la mise en scène d’un jeu plutôt complexe de positions entre des corps inconnus les uns des autres, propulsés les uns contre les autres. Dans Heart as Arena, ce jeu de positions sous-tend que des corps dansent sur la scène, que des radios y jouent et transmettent des ondes, qu’il y a d’autres corps présents dans la salle et que les signaux voyagent à l’intérieur de l’espace scénographique et de l’assistance au moyen de stations branchées sur place et à distance et de systèmes sans fil qui rejoignent aussi les téléphones intelligents. En utilisant un système radio à plusieurs entrées, celui-ci devient le cadre naissant de nombreuses relations, de près ou de loin, au centre desquelles les gestes concrets fusionnent avec d’invisibles interactions électromagnétiques. On peut le voir tel un circuit que l’on a construit, avec lequel on joue, et qui joue à l’intérieur de lui-même.

Nous nous retrouvons quotidiennement submergés par un tourbillon de signaux. Dans Heart as Arena, nous nous intéressons à la résonance des corps qui voyage dans le noir complet à la recherche d’unions insaisissables, s’accordant à des chansons qui expriment un désir pour l’amour et le réconfort, qui sont les rêves parmi les plus convoités de tous. Les corps servent d’antennes ; les récepteurs deviennent transmetteurs. Puis, nous nous rendons compte d’une chose : l’air n’est pas vide. Le réseau interactif créé par les ondes existe malgré sa précarité et sa vulnérabilité à l’interférence. Il regorge d’activité qui, même si elle est de nature temporaire, conserve un caractère humain. – Dana Gingras

Ont d’abord eu lieu, à La Rotonde, il y a quelques années, les trois mémorables visites de Holy Body Tattoo. Puis, une première rencontre avec Animals of Distinction, la propre compagnie de Dana Gingras. Elle nous offrait alors Smash up!, une collision de danse, d’animation par ordinateur et de musique, qui a laissé le public électrisé.

Depuis sa création à l’occasion du festival TransAmériques en 2008, la pièce a été présentée sous diverses formes, d’un bout à l’autre du Canada et des États-Unis, et elle a fait escale en Europe. Revoici Dana Gingras avec Heart As Arena, qui traite du besoin fondamental qu’ont les êtres humains d’établir des contacts, d’entrer en relation les uns avec les autres malgré le temps et la distance qui font souvent obstacle.

L’opéra Norma de Bellini, chef-d’œuvre sur le désir, l’amour et la perte, agit en tant qu’objet émotionnel déclencheur dans la pièce, émergeant des haut-parleurs puis disparaissant à plusieurs reprises au gré de la pièce.

Animals of distinction
Créée en 2006 par la chorégraphe Dana Gingras, cofondatrice du renommé Holy Body Tattoo, la compagnie Animals of Distinction se démarque en intégrant le multimédia à la danse dans ses spectacles et se veut un moyen d’expression et d’exploration du travail en solo de Dana Gingras.

En tant qu’artiste de la danse, Dana Gingras travaille à élever les possibilités du travail physique du danseur à un degré extrême. Pour elle, la danse nécessite de prendre des risques et de les assumer.

La compagnie Animals of Distinction se situe au premier plan de la pratique contemporaine de la danse, où des principes sociaux liés à la kinesthésie rencontrent ce que l’on appellerait la « pensée physique » et où cela est transposé à l’intérieur des chorégraphies. Les œuvres innovatrices de la compagnie naissent de collaborations fructueuses entre différents médiums, façonnées par les nouvelles technologies et par des changements culturels.

En 2012, Animals of Distinction et le 605 Collective de Vancouver coproduisaient et présentaient la première de New Animal, une œuvre de longue durée, chorégraphiée par Dana Gingras et interprétée par le collectif de 5 danseurs.

La Rotonde présente Heart as Arena les 25, 26 et 27 avril à la salle Multi de Méduse.

Voir la page du spectacle

Évènement Québec Danse – c’est parti!

Article publié sur le site Internet du Conseil de la culture des régions de Québec et de Chaudière-Appalaches

«À compter d’aujourd’hui et jusqu’au 29 avril, date de la Journée internationale de la danse, le public de Québec est invité à entrer dans la danse comme spectateur ou même comme danseur dans le cadre de l’Évènement Québec Danse.

Afin de souligner la Journée internationale de la danse qui sera célébrée le 29 avril, la table de danse du Conseil de la culture s’est en effet mobilisée pour offrir à la population une pleine semaine d’activités hautes en couleurs. L’événement Québec Danse se veut un moment fort pour mettre en valeur le grand dynamisme de la danse à Québec et dans la région ainsi que le travail des artistes, artisans et organismes qui en assurent la vitalité et le rayonnement dans la communauté et à l’extérieur.

Chorégraphes et interprètes donnent donc rendez-vous au public dans divers endroits de la ville, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les activités présentent une diversité de genres, de styles, d’influences culturelles et artistiques. Les participants viennent exprimer l’amour de leur art et leur fierté de l’exercer ici, à Québec et dans la région.

Voilà une occasion extraordinaire pour la population de partager avec les artistes le plaisir de la danse et de célébrer cette discipline qui s’est taillée une place importante dans la vie culturelle de Québec, à tel point que la ville est maintenant considérée comme un pôle incontournable de la danse professionnelle dans la province et au pays.

Des activités diversifiées dans des lieux traditionnels et inusités

La programmation de l’Évènement Québec Danse regroupe une diversité de styles : danse contemporaine, flamenco, salsa, merengue, tango, swing, bachata, cha cha, hustle, hip-hop, baladi, zumba, zouk, kuduro, gumboot et tap celtique sont au nombre de ses multiples expressions. Spectacles, démonstrations et classes d’initiation feront la joie de tous les jeunes de cœur, amoureux de la danse. Voilà une occasion en or, pour les personnes qui ont toujours voulu danser sans jamais oser, de faire leurs premiers pas dans le style qui leur sourit.

Le Musée national des beaux-arts du Québec, le Musée de la civilisation, le parvis de l’église Saint-Roch, Méduse, Place de l’Université du Québec, diverses écoles de danse et même les traversiers Lévis-Québec, sans oublier le Web, seront les lieux d’intervention des artistes, compagnies, troupes et écoles.

L’Évènement Québec Danse… à la découverte de la richesse, de la diversité et du dynamisme de la danse pratiquée ici.»

Source : site Internet du Conseil de la culture des régions de Québec et de Chaudière-Appalaches

COMMUNIQUÉ – La Rotonde – Heart as Arena de Animals of Distinction

COMMUNIQUÉ — DIFFUSION IMMÉDIATE
QUÉBEC, AVRIL 2013

HEART AS ARENA
ANIMALS OF DISTINCTION — DANA GINGRAS / VANCOUVER

25.26.27 AVRIL, 20 H
MÉDUSE – SALLE MULTI
591, RUE DE SAINT-VALLIER EST

Considérez l’énergie dans un contexte romantique. Voyez-la du point de vue d’un amoureux ou d’une amoureuse, lorsque l’étincelle se produit et vous transporte. (Think of energy as romantic. Think of it as a lover, or the idea of a lover, as the spark that makes matter matter.) – Natalie Angier

PERFORMANCE MULTIFORME
Ont d’abord eu lieu, à La Rotonde, il y a quelques années, les trois mémorables visites de Holy Body Tattoo. Puis, une première rencontre avec Animals of Distinction, la propre compagnie de Dana Gingras. Elle nous offrait alors Smash up!, une collision de danse, d’animation par ordinateur et de musique, qui a laissé le public électrisé.

Revoici Dana Gingras avec Heart as Arena, qui traite du besoin fondamental qu’ont les êtres humains d’établir des contacts, d’entrer en relation les uns avec les autres malgré le temps et la distance qui font souvent obstacle.

LE CŒUR, TEL UNE ARÈNE…
Les corps de cinq interprètes explorent la réceptivité, la transmission d’information, d’émotions, et le langage secret de l’électricité qui anime le cœur, l’être, les muscles…

Le tout baignant dans un environnement où de nombreux transmetteurs, dispersés dans l’espace scénique, au-dessus des danseurs, créent un imposant réseau sonore qui interagit avec les interprètes en mouvement.

On y sent le cœur, tel une arène où se croisent champs émotionnels et champs électriques, provoquant des phénomènes d’attirance et de répulsion entre les corps des interprètes.

Créée en 2006 par la chorégraphe Dana Gingras, cofondatrice du renommé Holy Body Tattoo, Animals of Distinction invente de fructueuses collaborations entre différents médiums, façonnées par les nouvelles technologies et par les changements culturels qu’elles génèrent.

En tant qu’artiste de la danse, Dana Gingras travaille à élever les possibilités du travail physique du danseur à un degré extrême. Pour elle, la danse nécessite de prendre des risques et de les assumer.

Les fans du Holy Body Tattoo ne devraient pas manquer le travail de la compagnie de Vancouver Animals of Distinction. – The Gazette

La première mondiale de Heart as Arena a eu lieu en octobre 2011 à The Cultch, Vancouver.


CINQ ARTISTES SUR SCÈNE

Concept et chorégraphie: Dana Gingras
Interprétation: Sarah Doucet (Toronto), Amber Funk Barton (Vancouver), Dana Gingras (Vancouver/Montréal), Masaharu Imazu (Montréal/Japon), Shay Kuebler (Vancouver)
Conception du système de transmission et composition musicale: Anna Friz (Toronto/Chicago)
Lumières: Mikko Hynninen(Finlande)
Dramaturgie: Ruth Little (Angleterre), Daniel Canty (Montréal)
Répétition: Karine Denault (Montréal)
Costumes: Sarah Doucet

Durée: 65 minutes sans entracte

Version PDF du communiqué


-30-

Source: Claire Crevier, La Rotonde, Centre chorégraphique contemporain de Québec
Relations avec les médias: Marie-Hélène Julien
marie-h.julien@larotonde.qc.ca / 418 649.5013, poste 228

Danse K par K – compagnie de la chorégraphe Karine Ledoyen

DANSE K PAR K

Depuis 2005, sous la direction artistique de Karine Ledoyen, Danse K par K colore le paysage de la danse de Québec en se frottant aux frontières de l’interdisciplinarité. Elle se définit comme un incubateur d’œuvres chorégraphiques mettant à contribution des artistes d’horizons et de territoires variés.

La compagnie diversifie ses recherches chorégraphiques en travaillant autour de « la rencontre ». Avec des projets rassembleurs et singuliers, elle unit ses aspirations artistiques à son désir de participer au développement de son milieu.

Danse K par K se démarque en déjouant les attentes, tout en étant ancrée dans la poésie de l’imagerie.

Voir la page du spectacle

Karine Ledoyen – chorégraphe de Trois paysages

Karine Ledoyen est une particule singulière dans l’univers de la danse contemporaine. Lumineuse, elle plonge, elle cible et elle ose, entraînant dans son sillon tous ceux qui croisent sa trajectoire artistique. – Le Soleil, 2011

Reconnue pour sa fougue, son dynamisme et son amour de la danse, Karine Ledoyen est une artiste engagée au cœur d’actions structurantes, de rencontres passionnées et non conventionnelles pour le milieu de la danse.

Chorégraphe et directrice artistique de la compagnie Danse K par K, elle découvre la danse vers l’âge de 18 ans. Cette discipline se révèle à elle dans un premier temps comme un exutoire parfait combinant engagement physique intense et démarche artistique. Dès l’obtention de son diplôme de L’École de danse de Québec en 1999, elle part pour la France et s’installe à Grenoble pour deux ans. Apprentie interprète pour les compagnies D.I.T. du chorégraphe Robert Seyfried et 47/49 du chorégraphe François Veyrunes, elle entame ses premières recherches chorégraphiques. Ce passage en France, ponctué de rencontres marquantes, lui insuffle un désir pour la création. Après un arrêt de quelques mois à Montréal, elle fait le choix de retourner s’établir dans la ville de Québec où elle met toutes ses énergies au service de la discipline. Dès lors, elle s’investit auprès de sa communauté et participe activement à son développement par diverses interventions autant organisationnelles que directement liées à la création. Ce début de parcours, marqué principalement par sa grande implication au développement de la danse dans son milieu, influence la chorégraphe et l’amène à questionner les problématiques de diffusion de la danse. Ces questions trouvent écho dans son désir d’amener le spectateur à vivre une expérience unique avec la danse pour chaque projet qu’elle va élaborer. Elle développe des stratégies novatrices qui teintent le travail de ses premières années avec des créations ludiques et colorées telles qu’Osez !, Pop Rock avec Moi ! (2008) et Gonfler l’histoire (2008), pour ne nommer que celles-là.

En 2005 Karine crée sa compagnie, Danse K par K, afin de poursuivre ses multiples projets. Son premier spectacle avec la compagnie, Cibler, fait l’objet de trois tournées pendant lesquelles il sillonne le Québec dans une quinzaine de villes et est présenté en Angleterre. Dans un même élan, elle se consacre à la consolidation de sa compagnie et au développement du fort populaire projet Osez ! qui évoluera pendant neuf années consécutives dans plusieurs régions du Québec. À l’été 2008, celui-ci est exporté en Belgique et au Royaume-Uni.

Assoiffée de nouvelles rencontres artistiques, Karine Ledoyen ponctue ses projets chorégraphiques avec des incursions au théâtre où elle chorégraphie, entre autres, pour le Théâtre du Trident, Tableau d’une exécution (2008) et, pour l’auteure et metteure en scène Anne-Marie Olivier, Gros et détail (2006) et Annette (2010). Elle s’associe également à la chorégraphe Mélanie Demers pour créer et danser La Nobody (2010), projet hybride entre la danse, le théâtre et la performance, spectacle qui sera repris à l’occasion du OFFTA 2011.

Un nouveau cycle de création s’amorce pour la jeune chorégraphe qui arpente l’élément de l’air depuis la création de AIR (2011). En janvier 2012, Karine Ledoyen donne naissance à un premier enfant. Sans répit, en 2013, elle offre deux nouvelles créations, comme des flèches directes au cœur de ses préoccupations du monde dans lequel elle vit, Trois paysages et Danse de garçons.

Karine Ledoyen fait partie des membres fondateurs de la coopérative de danseurs professionnels de Québec, L’Artère. De 2006 à 2010, elle est porte-parole des saisons de danse du Grand Théâtre de Québec. Elle reçoit, à l’automne 2006, le prix François-Samson du développement culturel pour la région de Québec et de Chaudière-Appalaches ; elle est en nomination pour le prix Rayonnement international du Conseil de la culture de Québec en 2008.

Voir la page du spectacle

À propos de Trois paysages

L’absence : Créer autour de ce qui n’existe pas.
Le vide : Ne pas contrôler.
Le silence : S’entendre respirer… ensemble.
L’espace : Voir ce qui existe, mais qui ne se voit pas.

– Karine Ledoyen

Dans le sillon de son travail chorégraphique sur l’air, Karine Ledoyen fait le pari, avec Trois paysages, de rendre celui-ci visible, audible, tangible.

Alliant danse et nouvelles technologies, Trois paysages s’articule autour d’une conception sonore imaginée par le compositeur Patrick Saint-Denis. Une machine à vent, mur composé de 192 feuilles de papier 8 1/2 x 11 animées par des micro ventilateurs, se déclenche en fonction des mouvements des danseurs, créant une poésie sensible permettant de voir l’air, de le palper, de l’entendre.

Accompagné par quatre interprètes – Sara Harton, Eve Rousseau-Cyr, Fabien Piché et Ariane Voineau – en interaction avec cette merveilleuse machine à vent, le spectateur fera son chemin au cœur de trois tableaux, trois possibilités, trois paysages.

Plus qu’un spectacle, Trois paysages se veut aussi une expérience : devenant partie intégrante de l’œuvre, un membre du public est invité à renoncer à son droit fondamental de spectateur afin que la représentation puisse avoir lieu pour le plus grand bonheur de tous les spectateurs qui assistent au spectacle.

Qu’en serait-il si quelqu’un d’entre nous devait renoncer à un petit quelque chose pour le bienfait de la collectivité ?

J’ai été porté par le chant du vent. J’ai été transporté par les trois murs mobiles constitués de feuilles qui voletaient au rythme de la mer que je sentais proche. Et surtout, j’ai été conquis par la beauté et la fluidité des mouvements des quatre interprètes.
– R. St-Amour, me.voir.ca

Voir la page du spectacle

COMMUNIQUÉ – La Rotonde – « Trois Paysages » de Danse K par K

COMMUNIQUÉ — DIFFUSION IMMÉDIATE
QUÉBEC, MARS 2013

TROIS PAYSAGES
DANSE K PAR K — KARINE LEDOYEN / QUÉBEC

10.11.12 AVRIL, 20 H
SALLE MULTI DE MÉDUSE
591, RUE DE SAINT-VALLIER EST

 

L’engagement de l’autre est déjà inscrit dans l’ADN de Trois paysages: l’air, c’est aussi un espace de partage, [que] tout le monde respire. Et c’est la vie, entre le moment où tu inspires et expires… – KARINE LEDOYEN

Après le retentissant succès de la pièce Air, présentée en 2011 dans le cadre d’une tournée québécoise, Karine Ledoyen reprend l’affiche avec un tout nouveau spectacle poursuivant son travail chorégraphique sur l’air, faisant le pari de rendre celui-ci visible, audible, tangible.

Alliant danse et nouvelles technologies, Trois paysages s’articule autour d’une conception sonore imaginée par le compositeur Patrick Saint-Denis. Une machine à vent, mur composé de 192 feuilles de papier 8 1/2 x 11 animées par des micro ventilateurs, se déclenche en fonction des mouvements des danseurs, créant une poésie sensible permettant de voir l’air, de le palper, de l’entendre.

On participe donc à un voyage de l’air en trois tableaux, trois danses, qui explorent différentes évocations qu’inspire l’air à la chorégraphe: le vide, l’absence, les choses qui existent mais qu’on ne voit pas.

Plus qu’un spectacle, Trois paysages se veut aussi une expérience: devenant partie intégrante de l’œuvre, un membre du public est invité à renoncer à son droit fondamental de spectateur afin que la représentation puisse avoir lieu pour le plus grand bonheur de tous les spectateurs qui assistent au spectacle…

[…] Trois paysages est d’une grande beauté visuelle et assez contemplatif, porté par de gracieux interprètes. L’œuvre nous entraîne dans un monde à part, un univers onirique, mystérieux, à l’image de son inspiration, l’insaisissable air. IRIS GAGNON-PARADIS, DF DANSE, février 2013

J’ai été porté par le chant du vent. J’ai été transporté par les trois murs mobiles constitués de feuilles qui voletaient au rythme de la mer que je sentais proche. Et surtout, j’ai été conquis par la beauté et la fluidité des mouvements des quatre interprètes.ROBERT ST-AMOUR, ME.VOIR.CA, février 2013

 

Reconnue pour sa fougue et son dynamisme, Karine Ledoyen est à l’origine de nombreux projets créatifs. Son habileté à manier les effets scéniques marquants lui vaut des éloges depuis une bonne dizaine d’années et fait rayonner sa danse bien au-delà de la Capitale.

Karine Ledoyen est une particule singulière dans l’univers de la danse contemporaine. Lumineuse, elle plonge, elle cible et elle ose, entraînant dans son sillon tous ceux qui croisent sa trajectoire artistique. JOSIANNE DESLOGES, LE SOLEIL, 2011



Chorégraphie: Karine Ledoyen en collaboration avec les danseurs
Mise en scène: Alexandre Fecteau et Karine Ledoyen
Assistant(e)s: Claude Breton et Jocelyn Paré
Interprétation: Sara Harton, Eve Rousseau-Cyr, Fabien Piché et Ariane Voineau
Animation: Jocelyn Paré
Répétitrice: Ginelle Chagnon
Musique: Patrick Saint-Denis
Lumières: Louis-Xavier Gagnon Lebrun
Costumes: Virginie Leclerc
Scénographie: Patrick Saint-Denis (concept du mur) et Karine Ledoyen
Direction technique et régie: Olivier Bourque et Jean-Michel Dumas
Photo : David Cannon
Durée: 55 minutes

 

Version PDF du communiqué


– 30 –

Source: Claire Crevier, La Rotonde
Relations avec les médias: Marie-Hélène Julien, marie-h.julien@larotonde.qc.ca / 418 649.5013, poste 228

COMMUNIQUÉ – La Rotonde – 73° nord de Fleuve | Espace danse

UNE PIÈCE VIBRANTE, QUI EXALTE LES CORPS

73° nord s’intéresse tout particulièrement à la lutte nécessaire des oies blanches pour migrer jusqu’à L’Île Bylot, au nord de la terre de Baffin, où elles se reproduisent.

Chantal Caron vit et travaille sur les rives du Saint-Laurent, à Saint-Jean-Port-Joli. — Le fleuve, les oiseaux, les énergies de la nature sont parties prenantes de sa démarche. — Elle y puise toute la force nécessaire pour créer de percutantes propositions chorégraphiques, 10 au total depuis la fondation de la compagnie Fleuve | Espace danse. Sa toute dernière œuvre, 73° nord, n’y fait pas exception, propulsant les corps à travers des pulsions où l’énergie, la musique, la sensualité et le désir gonflent et s’accélèrent.

Résultat de 2 ans de recherche et d’expérimentation, 73° nord est présentée à La Rotonde en janvier 2013, et, par la suite, chez le diffuseur pluridisciplinaire Les Arts de la scène de Montmagny le 10 février, ainsi qu’à la Maison de la culture Villeray-St-Michel-Parc-Extension, le 14 février.

UN RETOUR AUX SOURCES CRÉATEUR

Après sa formation à Montréal, Chantal Caron revient à Saint-Jean-Port-Joli où, en 1986, elle ouvre et dirige son école. En 1992, elle fonde Les Productions Caron Danse dont la mission est de diffuser et promouvoir sa discipline. En 2006, la compagnie Fleuve | Espace danse voit le jour. — Le rayonnement de Chantal Caron, à travers son école et ses œuvres choré-graphiques, fait d’elle une référence pour l’expansion de l’art en dehors des centres urbains et lui a valu plusieurs prix et mentions au niveau régional et national. — Grâce à sa démarche unique et ancrée dans le territoire naturel, elle est nommée, au printemps 2012, Ambassadrice du Fleuve St-Laurent de la Fondation David Suzuki. Cette nomination vient renforcer son engagement envers la mise en valeur du joyau qu’est le St-Laurent.


Chorégraphie et direction artistique: Chantal Caron

Interprètes: Simon Ampleman, Geneviève Boulet, Thomas Casey, Karine Gagné, Oliver Koomsatira (en tournée: David Campbell), Marie-Pier Morin, Clémentine Schindler
Conception sonore: Pierre-Marc Beaudoin
Costumes: Marilène Bastien
Lumières: Caroline Ross
Répétition: Sophie Michaud
Photos: Francine Dion, Pilar Macias
Durée: 60 minutes

Version PDF du communiqué de 73° nord


-30-

Source: Claire Crevier, Centre chorégraphique de Québec, La Rotonde /

RELATIONS AVEC LES MÉDIAS: MARIE-HÉLÈNE JULIEN / marie-h.julien@larotonde.qc.ca / 418 649.5013, poste 228