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Appel de candidatures pour interprètes et jurés – concours Marquer la danse

Recherchés : 3 interprètes professionnels en danse (hommes et femmes) + 3 jurés pour le projet Marquer la danse

Photo: Elias Djemil

Photo: Elias Djemil

Marquer la danse – 6e édition

Marquer la danse est un concours d’écriture chorégraphique pour adolescents, coproduit par La Rotonde et Le fils d’Adrien danse. Il invite des élèves, principalement du niveau secondaire, à écrire leur chorégraphie, en partant de leurs inspirations et du lexique de vocabulaire de notation chorégraphique. 3 finalistes seront sélectionnés à l’issue d’une évaluation par un jury. Les 3 finalistes, en tant qu’apprentis chorégraphes, auront la chance de créer leur danse avec les interprètes professionnels, avec l’aide d’un mentor (Harold Rhéaume) lors de la fin de semaine de réécriture. Ensuite, le jury déterminera un projet gagnant qui fera l’objet de répétitions avec le mentor et les interprètes professionnels.

La pièce finale fera 5 minutes environ. À l’issue d’une répétition générale, une vidéo de la chorégraphie sera présentée au festival Accès Danse à Châteauguay et en lever de rideau des matinées scolaires de Glory – Shay Kuebler à l’auditorium du Pavillon Lassonde du MNBAQ.

Date limite de réponse: 28 novembre 2016

Pour plus d’informations sur les critères de réponses, la rémunération et l’horaire, téléchargez l’appel de candidatures aux interprètes et l’appel au jury.

À propos du concours Marquer la danse: www.marquerladanse.com

La Rotonde rejoint les organismes porteurs des droits de l’enfant!

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À La Rotonde, les droits culturels pour tous nous tiennent à coeur.

À l’occasion de la conférence de presse du lancement de la semaine des droits de l’enfant à Québec, nous avons reçu une plaque officialisant notre conviction, notre engagement et notre présence aux côtés des organismes porteurs des droits de l’enfant de la région de Québec.

Nous défendons l’article 31.2 de la Convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies:  » Nous respectons et favorisons le droit de l’enfant à participer pleinement à la vie culturelle et artistique. »

Merci au Théâtre jeunesse Les Gros Becs pour leur parrainage.

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L’inimitable Brice Noeser s’amène à La petite scène par Catherine Genest, voir.ca

La petite scène, concept importé de Vancouver et coproduit par Le Cercle et de La Rotonde, revient ce soir pour une 7e édition. Catherine Genest y consacre une brève web sur voir.ca.

Brice Noeser

Remarqué dans auprès d’Harold Rhéaume et Estelle Clareton, le danseur nous dévoile une fois de plus l’étendu de sa personnalité attachante dans une chorégraphie de son cru.

Sa danse est absurde, théâtrale, et son langage chorégraphique ne ressemble à celui de personne. Brice Noeser est l’un des artistes les plus rafraîchissants de la scène contemporaine, un électron libre captivant.

Il sera de la prochaine édition de La petite scène, un cabaret amusant présenté au Cercle en collaboration avec La Rotonde.

// À lire aussi: notre entrevue avec Brice Noeser

Des autres créateurs convoqués à cette rencontre, on note: Josiane Bernier, Lucie Grégoire, Harold Rhéaume, Lydia Wagerer et Jean-François Duke – codirecteur artistique de ces soirées.

Pour lire l’article complet, cliquez ici.

Source: voir.ca.

Danse de nuit de Karine Ledoyen: éclats de lumière par Daphné Bédard, Le Soleil

Dans quelques jours, nous découvrirons Danse de nuit, la dernière création de Karine Ledoyen. Daphné Bédard s’est entretenue avec la chorégraphe.

Photo: David Cannon

Photo: David Cannon

(Québec) La nuit évoque tout autant la tonitruante musique des bars que la douceur d’une berceuse chantée à un bébé. Pour Karine Ledoyen, la nuit est une source inépuisable d’inspiration. Ses mystères et ses secrets sont bien sûr des éléments d’ancrage de sa dernière création, mais la chorégraphe de Québec voit surtout la nuit comme un point de vue. «Tu éclaires ce que tu veux avec la lumière», explique-t-elle.

Danse de nuit, qui occupera la salle Multi de Méduse du 26 au 28 octobre, est une série de tableaux que Karine Ledoyen appelle «vignettes». «Ce n’est pas un seul souffle», précise celle qui nous a offert Danse de garçons et Trois paysages en 2013. En tant que spectateur, on s’imagine devant un édifice à plusieurs fenêtres. On se fait voyeur en allant voir ce qui se passe dans tel appartement ou dans l’autre. «Je pense que, la nuit, les choses se transforment par rapport à ce qu’on voit en plein jour», avance Karine Ledoyen. On ne voit pas nécessairement le début ou la fin d’une situation. «Le voyeurisme est très présent dans le spectacle», admet-elle.

Le spectateur joue un rôle dans Danse de nuit. Il décide de ce qu’il veut regarder. Il est sollicité par ce qui lui est proposé, mais aussi parce que Karine Ledoyen, qui joue le rôle de la chorégraphe sur scène, l’interpelle directement. «Je brasse un peu le spectateur. Il n’est pas passif», précise-t-elle.

La nuit appelle aussi l’intimité et Karine Ledoyen a voulu faire entrer le spectateur dans celle des interprètes : les deux danseurs Odile-Amélie Peters et Fabien Piché, le musicien Patrick Saint-Denis – l’inventeur de la machine à vent interactive de la pièce Trois paysages – et elle-même.

Multidisciplinaire

Pour Danse de nuit, on peut parler d’un spectacle multidisciplinaire qui allie à la fois la danse, la performance et le théâtre. «Le mouvement reste ma motivation première, affirme Karine Ledoyen. Mais parfois, pour dire quelque chose, j’utilise plusieurs outils.»

Les mouvements des interprètes créent des sons en direct grâce à des capteurs installés sur eux. On peut même entendre leurs battements de coeur. «C’est l’affaire la plus intime qu’on peut offrir, croit Karine Ledoyen. Ça ne trompe pas.» Et à travers le coeur vient évidemment le sujet du couple, du rapport amoureux.

La chorégraphe aime également garder ses danseurs sur le qui-vive en jouant notamment avec la scénographie. Ils sont alors obligés de modifier leur parcours. Tel un funambule sur son fil, ils doivent garder l’équilibre.

Pour lire l’article complet, cliquez ici.

Source: Le Soleil, Daphné Bédard.

Retour sur Les caveaux d’Alan Lake par une élève du collège de Champigny, récipiendaire du prix La Rotonde

Alexandra Racine, élève du collège de Champigny

Alexandrine Racine, élève du collège de Champigny

Lors du spectacle Les caveaux du chorégraphe Alan Lake, ma mère et moi avons été mises dès le début dans le contexte d’une création qui sortait de l’ordinaire. En effet, nous ne savions pas qu’il fallait se déplacer en autobus scolaire (ça c’est du connu pour moi !) pour aller dans un lieu secret qui allait nous être dévoilé une fois arrivée.  Ce climat de mystère a très bien agi sur nous.  En arrivant au lieu secret, notre imagination a décollé et celle-ci s’est emballée au moment d’entrer dans la salle, plongées que nous étions dans une ambiance portée par la présence des interprètes qui étaient déjà placés sur scène. La proposition chorégraphique que j’ai trouvée très intéressante était remplie de plusieurs émotions dont la peur, la violence, la douceur; qui se confondaient dans des atmosphères réelles basculant ensuite dans l’imaginaire. J’ai beaucoup aimé le début, lors de la sortie de terre de l’interprète David Rancourt, sa façon d’émerger avec  douceur m’a plu tout autant que l’idée de camoufler quelqu’un dans la terre. Je retiens aussi de ce spectacle, l’habileté des  interprètes à se mouvoir au sol avec toutes les parties de leur corps.  J’ai vraiment aimé leur façon d’être ensemble quand ils dansent en duo. Les jours ont passé depuis ce spectacle et pourtant le mystère demeure.  Merci et bravo au chorégraphe Alan Lake et à toute son équipe !

Alexandrine Racine

5e secondaire

Collège de Champigny

L’équipe s’agrandit. Bienvenue Antoine Caron!

Antoine Caron autoportrait

Nous avons le plaisir de vous annoncer qu’Antoine Caron a été recruté comme directeur technique du Groupe Danse Partout. Il oeuvrera à ce titre pour les activités de La Maison pour la danse, de La Rotonde et de L’École de danse de Québec.

Antoine est déjà bien connu du milieu de la danse puisqu’il a collaboré à de nombreux projets tant au niveau technique qu’artistique. Sa solide expérience dans les domaines culturel et corporatif à des fonctions de directeur technique, de directeur de production et de régisseur en font une ressource essentielle aux projets de développement nourris par le Groupe pour la danse à Québec.

Sa formation en musique classique et en sonorisation, son intérêt pour la photographie, l’art audio et les nouvelles technologies démontrent son insatiable curiosité; autant de passions et de talents à partager!

Ils ont grandi avec La Rotonde par Raphaëlle Plante, Le Soleil

Dans une publication spéciale, le journal Le Soleil revient sur ce qui a marqué nos 20 ans de diffusion de danse contemporaine à Québec.

Après avoir passé une douzaine d'années à Ottawa puis Montréal, Harold Rhéaume revient à Québec en 2000 et multiplie les projets avec sa compagnie Le fils d'Adrien danse. PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, ERICK LABBÉ

Après avoir passé une douzaine d’années à Ottawa puis Montréal, Harold Rhéaume revient à Québec en 2000 et multiplie les projets avec sa compagnie Le fils d’Adrien danse.
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, ERICK LABBÉ

(Québec) La Rotonde souffle cette année 20 bougies. L’organisme spécialisé dans la diffusion de la danse contemporaine à Québec poursuit sa mission de faire découvrir cet art au plus grand nombre et célèbre le chemin parcouru depuis deux décennies. Établis à Québec, les chorégraphes Harold Rhéaume, Karine Ledoyen et Alan Lake sont unanimes: la présence du diffuseur est un élément majeur dans leur carrière, leur permettant de créer et présenter leurs oeuvres dans la capitale. Trois parcours, mais le même attachement fort à une ville et à son dynamique milieu de la danse.

Diplômé de l’École de danse en 1989, l’interprète et chorégraphe Harold Rhéaume s’est exilé plusieurs années avant de revenir chez lui. Il a d’abord passé cinq ans à Ottawa, puis sept ans dans la métropole, où il a dansé pour plusieurs compagnies en plus de travailler sur ses créations. Ce n’est donc qu’en 2000 que M. Rhéaume revient à Québec, où il fonde sa propre compagnie, Le fils d’Adrien danse – nommée ainsi à la mémoire de son père.

[…]

Le chorégraphe dit avoir toujours été «proche physiquement et philosophiquement» de La Rotonde, qui a présenté toutes ses créations en salle, une douzaine. Le fils d’Adrien danse est d’ailleurs devenu la compagnie résidente de La Rotonde en 2003, et M. Rhéaume a partagé des bureaux avec l’organisme sur la rue Saint-Joseph, puis sur la rue du Roi, dans Saint-Roch, où verra le jour sous peu la Maison pour la danse.

[…]

Et, en tant que diffuseur, La Rotonde a contribué à ce que les créations d’Harold Rhéaume trouvent leur public, affirme le chorégraphe. S’il est difficile de ne nommer qu’un seul moment marquant au fil de toutes ces années de collaboration, M. Rhéaume signale que la présentation de sa création Fluide au Grand Théâtre, en décembre 2012, a été la concrétisation d’un rêve. «Ça faisait très longtemps, peut-être 20 ans, qu’un chorégraphe de Québec avait présenté un spectacle au Grand Théâtre. C’était la première fois que La Rotonde s’impliquait financièrement dans la création, en tant que coproducteur», indique-t-il fièrement.

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Source: Le SoleilRaphaëlle Plante.

Karine Ledoyen: une relation de confiance par Raphaëlle Plante, Le Soleil

À l’occasion de nos 20 ans, Le Soleil est allé s’entretenir avec des chorégraphes de Québec pour approfondir le rôle d’un diffuseur auprès des créateurs de Québec.

La chorégraphe Karine Ledoyen, qui a fondé la compagnie Danse K par K en 2005, présente sa nouvelle création Danse de nuit à la fin octobre. PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

La chorégraphe Karine Ledoyen, qui a fondé la compagnie Danse K par K en 2005, présente sa nouvelle création Danse de nuit à la fin octobre.
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

(Québec) «S’il n’y avait pas La Rotonde, je ne serais probablement pas là», dira Karine Ledoyen en entrevue au Soleil. La chorégraphe, qui a fondé la compagnie Danse K par K en 2005, reconnaît que le diffuseur spécialisé représente un «joueur majeur» dans sa carrière.

[…]

La chorégraphe insiste sur la relation de confiance qui existe entre le diffuseur et elle : «La Rotonde m’a toujours diffusée, il y a une confiance dans ma création [… ] Il a présenté mes premiers spectacles et on a évolué ensemble.» C’est une relation très particulière qui s’établit entre un artiste et le diffuseur, le premier voulant grandir dans sa création, tandis que le second doit rendre les spectacles accessibles au public, explique-t-elle.

Celle qui a aussi été interprète pour Le fils d’Adrien danse signale le travail de développement de public accompli par La Rotonde, qui permet aujourd’hui de présenter des propositions «plus pointues» aux gens de Québec.

Karine Ledoyen a «très hâte» de présenter sa nouvelle création, Danse de nuit, fin octobre. Un spectacle «entre la performance et la danse, qui oscille dans le rêve, le cauchemar, la fragilité», décrit-elle.

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Source: Le SoleilRaphaëlle Plante.