Stations
The dazzling Louise Lecavalier continues her vertiginous exploration of dance in a fiery solo that pushes the borders of intimacy. In four stations, like cardinal points and bodily states – fluidity, control, meditation, obsession – the dancer conquers her freedom, between the desire for flight and the need to anchor herself in the present. Lecavalier captivates and astounds as she reaches the pinnacle of her art.
Chorégraphie et interprétation : Louise Lecavalier
Assistance à la chorégraphie et répétitrice : France Bruyère
Lumières : Alain Lortie
Conseiller à la scénographie : Marc-André Coulombe
Musique : Colin Stetson, Suuns and Jerusalem in My Heart, Teho Teardo et Blixa Bargeld
Musique originale et arrangements : Antoine Berthiaume
Costumes : Yso, Marilène Bastien
Direction technique et production : François Marceau
Coproduction : tanzhaus nrw, Düsseldorf; HELLERAU – European Centre for the Arts, Dresden; Festival TransAmériques, Montréal; Usine C, Montréal; Harbourfront Centre, Performing Arts, Toronto ; Centre national des Arts, Ottawa; SFU Woodward’s Cultural Programs, Vancouver; Diffusion Hector-Charland, L’Assomption et Repentigny.
Première : 14 février 2020, tanzhaus nrw, Düsseldorf
Louise
Lecavalier
Alain
Lortie
Colin
Stetson
Suuns and Jerusalem in My Heart
Teho Teardo et Blixa Bargeld
Antoine
Berthiaume
YSO
Marilène
Bastien
[…] elle habite la scène comme personne, le regard perçant, le corps agile, ancrée coûte que coûte dans un sol qui lui appartient. Dans ce solo fougueux, Louise Lecavalier recherche et innove, sa gestuelle nourrie de ses 40 ans de carrière, innervée de plusieurs vies.
— Léa Villalba, Le Devoir
« 60 minutes d’énergie concentrée, pas un muscle, pas un nerf qui restent immobiles, qui ne soit pas rempli à ras-bord de présence, de concentration. »
— Westdeutsche Zeitung, Düsseldorf
Tour à tour, pantomime, acrobate et équilibriste, Louise Lecavalier explore la frontière entre l’équilibre et le déséquilibre. Sa gestuelle est spontanée et précise, ses mouvements sont bien choisis, jamais superflus. On sent cette énergie vitale qui pousse la danseuse à explorer les résonances physiques, la mémoire du corps.
— Luc Boulanger, La Presse
« Au fil du temps, je deviens de plus en plus l’objet de ma recherche et je risque le pari que mes différentes batailles existentielles de danseuse peuvent ressembler à celles des autres, que les nouvelles difficultés que je rencontre dans le mouvement m’offrent toujours un vrai espace de liberté et souvent une réponse. […] Je m’empare des nouveaux pas comme d’une nourriture vitale pour survivre. »
– Louise Lecavalier