La Rotonde
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Chaudières, déplacements et paysages
Chaudières, déplacements et paysages
Chaudières, déplacements et paysages

Chaudières, déplacements et paysages

Saison 2008-2009
19, 20, 21, 25, 26, 27, 28 février 2009, 20h
La Rotonde – grand studio
Tarif général : $ 20 Jeune adulte/Aîné/Artisan : $ 16 Enfant/Ado : $ 14
5 artistes sur scène Discussion avec les artistes après les représentations du 20 et 27 février

 « L’objet a toujours été au coeur de mes recherches, qu’il soit sculpté, construit ou trouvé… » – Alan Lake


Comment un objet peut-il devenir dansant, malléable ? Comment peut-il accompagner et influencer la danse ? Comment la danse peut-elle, avec l’objet, devenir parfois statique, afin de créer des tableaux vivants ? comment la vidéo peut-être définir et imposer son regard par le cadrage ? Comment le montage impose-t-il un rythme, une danse ? Dans une esthétique brute et hétéroclite mariant danse, vidéo, objets, Alan Lake sculpte, compose des installations bougée qui influencent notre rapport au monde pour engendrer la surprise, le contemplatif et le poétique.

Credits
Artistic team
La parole au public

Chorégraphie, objets, scénographie et réalisation vidéo : Alan Lake
Musique : Josué Beaucage
Assistance à la réalisation vidéo : Thierry Bouffard
Environnement, film : Isabelle Lapierre et Geneviève Lapierre
Direction photo, caméra : David Paré
Photo : Yann Turcotte

Alan Lake

Alan
Lake

Chorégraphe-interprète
Scénographie
Conception vidéo
Josué Beaucage

Josué
Beaucage

Conception sonore

Isabelle
Lapierre

Scénographie
Geneviève Lapierre

Geneviève
Lapierre

Scénographie

David
Paré

Direction photo

Steve Huot vous parle de Chaudières, déplacements et paysages dans La parole au public !

Quel spectacle t’a fait voir le monde autrement ?

« J’étais jeune directeur à La Rotonde et c’était ma première saison. Mais j’aurais pu choisir n’importe quelle pièce d’Alan, parce qu’en fait, c’est Alan que je choisis. C’est un chorégraphe de Québec et il explore une avenue très originale avec ses œuvres. Les scènes et les images qu’il propose sont oniriques. Dans un rêve, on voit le monde autrement et les limites du monde réel ne s’appliquent pas. Alan reproduit ça parfaitement, il nous plonge dans un monde hors du réel. Pendant ses spectacles, je reste dans cet état-là, de rêverie, et les images qu’ils proposent m’habitent longtemps. »