La Rotonde
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F O L D S
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F O L D S

Saison 2015-2016
21, 22, 23 janvier 2016, 20h
30 minutes
Pré-vente : $ 20 Tarif général : $ 27
2 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 22 janvier

F O L D S use d’une installation interactive qui permet aux trajectoires du corps d’entrer en parfaite symbiose avec les éclairages et les projections vidéographiques. Par une danse gracile et sensible, des paysages éphémères d’ombre et de lumière se dessinent autour des interprètes, comme des auras mystérieuses. Les courbes de la silhouette se troublent et forment des dédoublements surnaturels, sorte de présences intangibles dont les mouvements se dissocient peu à peu les uns des autres. Par cette réflexion poétique sur les différentes couches d’un même être, la chorégraphe invente un moment de grâce tout simplement hypnotisant.

En partenariat avec
Credits
Artistic team
In the media

Chorégraphie : Katia-Marie Germain
Interprétation : Katia-Marie Germain, Hélène Messier
Musique, design visuel et interactif et régie vidéo : Navid Navab
Lumières et régie éclairages : Sylvie Nobert
Concept installatif : Lenka Novakova
Répétitions et conseil artistique : Marie-Gabrielle Ménard
Soutien à la création : Circuit-Est centre chorégraphique, Agora de la danse, José Navas (Compagnie Flak), Maison de la culture Notre-Dame-de-Grâce, Hexagram Concordia, Conseil des arts et des lettres du Québec
Photos : Frédéric Chais, Justine Latour

Katia-Marie Germain

Katia-Marie
Germain

Chorégraphe-interprète
Hélène Messier

Hélène
Messier

Interprétation
Navid Navab

Navid
Navab

Conception sonore
Conception visuelle
Conception vidéo
Sylvie Nobert

Sylvie
Nobert

Lumières
Lenka Novakova

Lenka
Novakova

Concept installatif
Marie-Gabrielle Ménard

Marie-Gabrielle
Ménard

Direction des répétitions
Consultation artistique

Si FOLDS est un spectacle méditatif et doux, Exister encore glisse dans la douce folie.

— Robert Boisclair, Les Enfants du Paradis

Le premier spectacle de danse de l’hiver réunit deux œuvres de chorégraphes féminines en émergence, Katia-Marie Germain de Montréal et Maryse Damecour de Québec.

— Daphné Bédard, Le Soleil

Alors que sa pièce précédente s’amusait à substituer et subtiliser les silhouettes, intervertissant les danseuses ou les effaçant dans des fondus cinématographiques, cette nouvelle production explore les différentes couches d’un même soi, et l’essence de la présence ressentie dans le repli et l’isolement.

— Brigitte Manolo, DFdanse

Impossible d’accuser Germain de se cacher derrière la technologie. On ne perçoit aucune hiérarchie entre la chorégraphie et la projection vidéo. C’est plutôt la symbiose qui transparaît et on soupçonne que la danse tiendrait la route sans le dispositif vidéographique, comme Germain nous l’a déjà prouvé auparavant avec Aube et Y demeurer. La vidéo ne fait qu’enrichir sa proposition, qui s’avère être d’une grande beauté et poésie.

— Sylvain Verstricht, Blogue Local Gestures