La Rotonde
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Idiom
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Saison 2014-2015
22, 23, 24 janvier 2015, 20h
40 minutes
Tarif général : $ 31 Jeunes adultes/Aîné/Artisan : $ 24.25 Enfant : $ 17.50
2 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 23 janvier

Idiom est une histoire de langage, de rencontre, de métissage. Par une approche axée sur l’ouverture et sur le partage, Jennifer Dallas et Bienvenue Bazié — elle du Canada, lui du Burkina Faso — abordent les ressemblances et les différences entre leurs cultures respectives, à travers les trajectoires qu’emprunte le corps. Ils marient leurs codes pour créer un dialogue gestuel sans frontières où l’apparente distance s’amenuise pour faire place à une danse unificatrice, moteur poétique de transformation humaine.

En partenariat avec
Credits
Artistic team
In the media

Chorégraphie et interprétation : Bienvenue Bazié, Jennifer Dallas
Musique : John MacLean
Lumières : Oz Weaver
Création et tournée soutenues par : Conseil des arts de l’Ontario
Photos : John MacLean

Bienvenue Bazié

Bienvenue
Bazié

Chorégraphe-interprète
Jennifer Dallas

Jennifer
Dallas

Chorégraphe-interprète
Oz Weaver

Oz
Weaver

Lumières

Critique de Marie-Ève Muller dans l’émission Chérie j’arrive! sur CHYZ 94.3FM le 23 janvier 2015. Programme-double Idiom + Ruminant Ruminant présenté par La Rotonde, centre chorégraphique contemporain de Québec à la salle Multi de Méduse du 22 au 24 janvier 2015.

— Marie-Eve Muller, CHYZ

Pour son premier spectacle de la saison hiver/printemps, La Rotonde en propose deux dans le même programme. Un doublé, deux univers, deux mondes à la fois si différents mais tellement séduisants. Chacun à leur manière. L’univers feutré et sensible d’Idiom côtoie celui éclaté et ludique de Ruminant Ruminant.

— Robert Boisclair, Les Enfants du Paradis

La Rotonde présente, pendant trois soirées, dans un programme double du début de la saison hivernale, quatre danseurs d’une inspiration et d’un potentiel remarquables : Jennifer Dallas et Bienvenue Bazié dans une chorégraphie expressive qui évolue depuis l’esquisse timide des premiers mouvements jusqu’au concert final des deux danseurs en pleine possession de leur corps, et Brice Noeser et Karina Iraola dans une présentation plus ludique mais tout autant chargée de sens.

— Venceslava Jarotkova, Info-Culture.biz