Avec S’abreuver des volcans, Alan Lake plonge au cœur de l’expérience humaine, une échappée poignante qui témoigne du pouvoir rédempteur de l’art.
Le mythe d’Orphée a inspiré de nombreux·ses artistes depuis l’Antiquité — sculpteur·rices, peintres, poètes, musicien·nes et cinéastes. Le chorégraphe Alan Lake leur emboîte le pas dans un récit symboliste entrelaçant subtilement le mythe et la modernité. Cette danse d’ombre et de lumière explore les méandres du doute, de la perte, et surtout de la vie. Elle résonne comme une métaphore puissante, réaffirmant que la véritable essence de notre humanité jaillit de la confrontation à l’inconnu.
Un récit qui reflète les complexités de l’existence moderne tout en célébrant le pouvoir transcendant de l’humanité à combler les fossés et à guérir les blessures. Dans un monde rongé par la division, le conflit et l’isolement, cette nouvelle création sert de puissant rappel du désir humain inné d’unité et de compréhension.
Le travail de Lake sert de phare d’espoir, inspirant les publics à cultiver un sens plus profond de l’empathie et de la connexion les uns avec les autres. Il nous rappelle qu’au milieu du chaos et de la tourmente du monde moderne, l’unité reste la force la plus puissante pour le changement positif. Aller de l’avant.
Chorégraphie : Alan Lake, en collaboration avec les interprètes
Interprétation : Josiane Bernier, José Flores, Jean-Benoit Labrecque, Jo Laïny Trozzo Mounet, Danny Morissette, Odile-Amélie Peters, Esther Rousseau-Morin
Musique sur scène : Antoine Berthiaume
Lumières : Achille Martineau & Chantale Labonté
Costumes et Accessoires : Jonathan Saucier
Répétitrice : Eve Rousseau Cyr
Soutien : Ville de Québec, Conseil des arts et des lettres du Québec, Conseil des arts du Canada
Coproduction : Carré 150, Victoriaville
Résidences : Compagnie Marie Chouinard et les Grands Ballets Canadiens.
Le texte de présentation de l’œuvre a été rédigé à partir des mots de Anne Viau pour Danse Danse (Montréal).