La Rotonde
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Me So You So Me
Me So You So Me
Me So You So Me

Me So You So Me

Saison 2013-2014
23, 24, 25 janvier 2014, 20h
60 minutes
Tarif général : 31 $ Jeune adulte/Aîné/Artisan : 24.5 $ Enfant : 17.5 $
2 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 24 janvier

Culture populaire et histoire japonaises, rythmes classiques de la tabla indienne et dessins animés sont au cœur de la turbulente Me So You So Me. À travers la figure de la relation de couple, des personnages prennent vie, puis se métamorphosent en des créatures énigmatiques qui s’amusent à révéler comment on se projette dans le regard de l’autre. Portée par la musique colorée du percussionniste japonais Asa Chang et par des interprètes qui combinent un travail extrêmement physique à une esthétique inédite, l’œuvre traduit avec humour et tendresse le côté animal qui somnole au fond de chacun de nous, toujours prêt à surgir !

Des matinées scolaires sont également prévues les 23 et 24 janvier à 13h30.

En partenariat avec
Crédits
Équipe artistique
Dans les médias

Chorégraphie et interprétation : David Raymond, Tiffany Tregarthen
Lumières : James Proudfoot
Musique : Asa Chang
Projections et scénographie : Craig Alfredson, David Raymond
Costumes : Nancy Bryant, Kate Burrows
Création soutenue par : The Dance Centre Residency Program, ArtSpring
Photos : Wendy D. Photography

David Raymond

David
Raymond

Chorégraphe-interprète
Scénographie
Tiffany Tregarthen

Tiffany
Tregarthen

Chorégraphe-interprète
James Proudfoot

James
Proudfoot

Lumières
ASA-CHANG

ASA-CHANG

Conception sonore
Craig Alfredson

Craig
Alfredson

Scénographie
Projections
Nancy Bryant

Nancy
Bryant

Costumes

Déstabilisant, drôle, tantôt sensuel, tantôt bestial, ME SO YOU SO ME allie avec finesse art clownesque et danse contemporaine. Les enfants y trouvent leur compte, tout autant que les adultes. Les personnages, sortis de l’univers steampunk et manga, font partie d’une esthétique hors du commun, où la beauté n’est pas mise de l’avant. Même que parfois, les mimiques des danseurs aux visages peints de blanc rappellent Jim Carrey dans Ace Ventura ou dans The Mask. Pour dire…

— Marie-Eve Muller, Impact Campus

Mi-clown, mi-athlète ils offrent une performance qui sort des sentiers battus.  Ils jouent avec les codes de la danse qu’ils mixent avec le théâtre, les jeux de lumières, les éclairages et la musique japonaise. Les surprises abondent. Pour le plus grand plaisir des spectateurs.

— Robert Boisclair ,Les Enfants du Paradis

Les interprètes font souvent penser à deux gamins qui se taquinent et se chamaillent, à deux personnages de bandes dessinées qui se singent et se pourchassent. Mais des enchaînements de mouvements plus complexes, qui déjouent habilement les habituelles routines des duos de danse contemporaine, nous éloignent de l’enfantin pour toucher quelque chose de plus abstrait.

— Josianne Desloges, Le Soleil

En provenance de Vancouver, Raymond et Tregarthen sillonnent le Canada pour présenter leur spectacle aussi rigolo que hautement technique. Partout, leur gestuelle unique a eu pour effet de captiver les amoureux de dessins animés japonais comme les fanas de danse contemporaine.

— Catherine Genest, Le Soleil