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Archive for juin 10th, 2016

Danse à Québec : De l’inédit pour la Rotonde en 2016-2017 par Kim Chabot, Huffington Post

Voici l’article de Kim Chabot pour le Huffington Post à propos de la saison de danse contemporaine 16-17, la saison de nos 20 ans!

Pour son 20 e anniversaire, la Rotonde se paie la traite. En plus d’étrenner deux lieux inédits – dont le nouvel auditorium du MNBAQ – l’institution propose treize spectacles, dont quatre coproductions avec le Grand Théâtre.

Ballets Jazz de Montréal dans la programmation du Grand Théâtre de Québec - Photo: Raphaëlle Bob Garcia

Ballets Jazz de Montréal dans la programmation du Grand Théâtre de Québec – Photo: Raphaëlle Bob Garcia

À en croire son directeur artistique et général, Steve Huot, la saison 2016-2017 est la plus imposante jamais proposée par la Rotonde. En tout, ce sont près de 80 artistes qui se produiront en huit lieux différents, dont deux inédits.

À commencer par le lieu désaffecté dans lequel Alan Lake Factori(e) plongera les spectateurs venus de voir Les Caveaux en octobre 2016. Pour accoucher de cette « expérience onirique terrifiante », pour reprendre les mots d’Alan Lake, une équipe investira un lieu désaffecté pendant plusieurs semaines. Le mystère planera sur l’endroit jusqu’au spectacle puisque les spectateurs y seront conduits en autobus.

Avec l’inauguration du pavillon Lassonde du MNBAQ, une scène s’ajoutera aux endroits investis par la Rotonde. En 2017, trois spectacles fouleront les planches de l’auditorium Fondation Sandra et Alain Bouchard, dont Glory. Un an après avoir dansé dans monumental de Holy Body Tattoo, Shay Kuebler proposera en avril 2017 une création mêlant danse contemporaine et arts martiaux. « Aussi athlétique que précis », selon Steve Huot.

Deux semaines plus tard, le Lassonde accueillera (Very) Gently Crumbling de la compagnie Grand Poney. Dans cette récente offrande de Jacques Poulin-Denis, quatre interprètes évoluent dans une « esthétique un peu rétro-futuriste », explique le capitaine de la Rotonde. « Les costumes sont un peu champ gauche et la scénographie est étrange », mais les textes d’Étienne Lepage sont « absolument surprenants », évoque Steve Huot.

10 ans avec le Grand Théâtre

La saison 2016-2017 marquera également le dixième anniversaire de la collaboration entre la Rotonde et l’institution du boulevard René-Lévesque. « La première fois, c’était avec Louise Lecavalier en 2006 », se rappelle Steve Huot.

C’est PPS Danse qui inaugure la série de quatre coproductions des deux maisons. Après Danse Lhasa Danse, le chorégraphe Pierre-Paul Savoie célèbre en décembre le 100e anniversaire de naissance de Léo Ferré avec Corps Amour Anarchie.

« Ferré a fait partie de ma jeunesse, se remémore le chorégraphe habitué de la Rotonde. C’est pour moi l’un des grands poètes du XXe siècle. J’ai voulu lui faire rencontrer la danse parce que ce sont deux médiums poétiques qui se laisseront de la place. » La direction musicale du spectacle sera assurée par Philippe B (Ornithologie la nuit) et Philippe Brault.

Début mars, c’est à l’aréna des Deux Glaces de Val-Bélair que se tiendra la coproduction Vertical Influences. Hybride de danse contemporaine et de patinage artistique, le deuxième spectacle de la compagnie montréalaise Le Patin Libre est unique en son genre, relève celui qui compose les programmations de la Rotonde depuis 2007.

Pour lire l’article complet et voir la galerie photos, cliquez ici.

Source: Huffington Post, Kim Chabot.

 

 

Programmation 2016-2017: la danse sort de ses murs par Daphné Bédard, Le Soleil

Daphné Bédard pour Le Soleil était présente à notre lancement anniversaire. Voici son article à propos de notre programmation 16-17:

(Québec) Plus que jamais la danse ira à la rencontre du public lors de la saison 2016-2017. Elle sortira à plusieurs reprises de ses murs habituels du Grand Théâtre et de la salle Multi de Méduse pour se transporter au nouveau pavillon Pierre-Lassonde du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ), à La Bordée, au théâtre Les Gros Becs et dans un aréna. Le chorégraphe de Québec Alan Lake invite même les spectateurs à le suivre à bord d’un autobus vers un lieu inconnu. Intrigant!

Les interprètes des Caveaux ont offert une performance brute et sensible qui promet pour la prochaine saison de La Rotonde. LE SOLEIL, JEAN-MARIE VILLENEUVE

Les interprètes des Caveaux ont offert une performance brute et sensible qui promet pour la prochaine saison de La Rotonde.
LE SOLEIL, JEAN-MARIE VILLENEUVE

Le public est convié en tout à 16 spectacles de compagnies de Québec, de Montréal, de Vancouver et de Tel-Aviv. Une offre abondante et riche. Alan Lake est celui qui donnera le coup d’envoi à cette 21e saison de La Rotonde, la 10e en partenariat avec le Grand Théâtre. Il proposera en octobre Les caveaux, dont nous avons pu voir quelques extraits jeudi. Une danse brute et sensible.

Suivront à la fin octobre deux autres spectacles conçus par des artistes de Québec, dont un marque le retour de la compagnie Danse K par K à la programmation, après quelques années d’absence. Sa directrice Karine Ledoyen, qui a fêté la décennie de sa troupe l’an dernier, s’intéresse à la vie nocturne dans Danse de nuit, sa sixième création. Ce duo est articulé autour des rythmes des battements de coeur, mis en musique par le concepteur Patrick Saint-Denis.

De son côté, Daniel Bélanger de Code universel s’est associé à Carol Cassistat du Théâtre du Gros Mécano pour Nous ne sommes pas des oiseaux?, un spectacle pour les cinq ans et plus sur le thème du voyage, mêlant théâtre, danse et vidéo.

Nous aurons aussi l’occasion de voir le charismatique chorégraphe-interprète José Navas dans le solo Rites, créé sur la musique de Dvorak, de Schubert, de Nina Simone et de Stravinski.

Valeurs sûres

Au Grand Théâtre, on table sur des valeurs sûres avant Noël. Le 1er novembre, la toujours très populaire chorégraphe montréalaise Marie Chouinard nous plonge dans l’univers du peintre néerlandais Jérôme Bosch et de son triptyque Le jardin des délices dans une oeuvre pour 10 danseurs soulignant les 500 ans de la mort de l’artiste.

La compagnie PPS Danse nous bercera, quant à elle, en décembre sur des airs de Léo Ferré dans Corps amour anarchie, un spectacle pour six danseurs, cinq musiciens et avec les chanteurs Alexandre Désilets, Bïa, Philippe B et Michel Faubert. Après avoir rendu hommage à Lhasa de Sela, «Léo Ferré s’est imposé», a dit hier Pierre-Paul Savoie en parlant du Français, dont c’est le 100e anniversaire de naissance. «C’est l’un des grands poètes du XXe siècle et il est plus actuel que jamais, a-t-il souligné. Il était avant son temps.»

Année 2017 chargée

En janvier 2017, l’événement marquant en danse sera certainement l’inauguration de la Maison de la danse dans Saint-Roch. Côté spectacles, place au flamboyant chorégraphe israélien Ohad Naharin et à la pièce Last Work dansée par la Batsheva Dance Company.

On a aussi bien hâte de voir à la fin du mois ce que nous réserve Manuel Roque, dont le talent nous avait éblouis cette année dans Ce n’est pas la fin du monde de Sylvain Émard. Il s’emmène avec Data, pour lequel il est chorégraphe et interprète et dont la représentation aura lieu dans le Pavillon Pierre Lassonde du MNBAQ.

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Source: Le SoleilDaphné Bédard.

L’année des vingt ans de la Rotonde par Catherine Lalonde, Le Devoir

Catherine Lalonde souligne les 20 ans de La Rotonde dans Le Devoir.

Le diffuseur en danse de Québec dévoile sa programmation 2016-2017.

José Navas dans Rites - Photo: Valérie SImmons

José Navas dans Rites – Photo: Valérie SImmons

Treize spectacles pour fêter vingt ans de diffusion en danse, dont trois créations. Telle est la programmation du vingtième anniversaire de la Rotonde, à Québec.

Place, forcément, à des créateurs de Québec. Karine Ledoyen, de Danse K par K, revient explorer l’univers nocturne avec Danse de nuit. En danse jeunesse, Les Gros Becs, Daniel Bélanger et Carol Cassistat s’unissent autour de Nous ne sommes pas des oiseaux ?. Et Alan Lake prépare, avec Les caveaux, une intrigante proposition, presque un show secret, dit-on, qui se déroulera dans un « lieu insolite », et encore indéterminé.

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Source: Le DevoirCatherine Lalonde.