La Rotonde
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De la glorieuse fragilité
De la glorieuse fragilité
De la glorieuse fragilité

De la glorieuse fragilité

Saison 2019-2020
30, 31 octobre et 1 novembre 2019, 20h
60 minutes
Prévente / Aîné / Artisan / Étudiant : 25 $ Général : 30 $
5 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 31 octobre

Célébration | Complicité | Confidences

La fête a eu lieu, les danseurs portent leurs corps et la scène à blanc pour reprendre l’exercice. Portés par les témoignages et les confidences d’interprètes ayant quitté la pratique, quatre danseurs et une vidéaste s’affairent à honorer ce que les premiers ne font plus. De la glorieuse fragilité est une brillante réflexion et célébration de son médium, un deuil d’une tendresse inouïe. Les interprètes, poussés dans leurs retranchements physiques et émotifs, font preuve d’une hypervigilance à l’autre dans leur occupation de l’espace. Dans un plaisir palpable, ils s’acquittent avec brio de la grandeur de ce projet. Karine Ledoyen fait montre, une fois de plus, de l’intelligence et de la sensibilité de sa recherche chorégraphique.

Crédits
Équipe artistique
Dans les médias
3 minutes avec...

Chorégraphie : Karine Ledoyen, en collaboration avec les interprètes
Interprétation : Elinor Fueter, Jason Martin, Simon Renaud, Ariane Voineau
Conception et manipulation de la vidéo sur scène : Andrée-Anne Giguère
Consultation artistique et direction des répétitions : Ginelle Chagnon
Conception musicale : Mathieu Doyon
Recherche sonore : Patrick Saint-Denis
Dramaturgie : Katya Montaignac
Lumières : Martin Sirois
Costumes : Jennifer Pocobene
Direction technique et régie : Marc St-Jacques
Direction administrative : Francine Chabot
Direction de production : Karine Ledoyen
Assistance à la production : Nancy Lavoie
Photos : David Cannon
Vidéo : Xavier Curnillon (réalisation), Yann-Manuel Hernandez (direction photo)
Coproduction : La Rotonde
Communications : Mathieu Mallet, Paul Goret (Bureau de prod)
Diffusion : Suzie Larivée (Agence La Tribu)
Résidences : Agora de la danse, Banff Centre for Arts and Creativity, Maison de la culture Notre-Dame-de-Grâce, La Rotonde.
Témoignages des interprètes : Anne Barry, AnneBruce Falconer, Annie-Claude Coutu Geoffroy, Catherine Martin, Daniel Soulières, David Rose, Frédéric Marier, Isabelle Gagnon, Judith Lessard-Bérubé, Laura Pinsonneault-Craig, Luc Ouellette, Lucie Boissinot, Lucie Mongrain, Marilou Castonguay, Martine Lusignan, Michèle Febvre, Nancy Lavoie, Raphaëlle Perreault, Yves St-Pierre.

Karine Ledoyen

Karine
Ledoyen

Chorégraphie
Elinor Fueter

Elinor
Fueter

Interprétation
Jason Martin

Jason
Martin

Interprétation
Simon Renaud

Simon
Renaud

Interprétation
Ariane Voineau

Ariane
Voineau

Interprétation
Andrée-Anne Giguère

Andrée-Anne
Giguère

Conception vidéo
Ginelle Chagnon

Ginelle
Chagnon

Direction des répétitions
Consultation artistique
Mathieu Doyon

Mathieu
Doyon

Conception sonore
Katya Montaignac

Katya
Montaignac

Dramaturgie
Martin Sirois

Martin
Sirois

Lumières
Danse K par K

Danse K par K

Production

De la glorieuse fragilité est une brillante réflexion et célébration de son médium, un deuil d’une tendresse inouïe. Les quatre danseurs et une vidéaste honorent la danse et la vive intensément avec sensibilité et plaisir.  Solo, duos, trios ou tous ensemble, ils se donnent de tout corps avant de quitter eux aussi un jour pour autre chose.

— Marie-Josée Boucher, Info-Culture

Quelle sublime idée d’offrir des témoignages, des pas dansés et de la musique qui se superposent. Il y a quelque chose de magique. La danse prend un tout autre sens. Le spectateur a l’impression de passer de l’autre côté du miroir. De comprendre un peu mieux ce qui émeut ces danseurs d’autrefois. De comprendre ce qui nous touche dans un spectacle de danse. Karine Ledoyen et ses magnifiques comparses nous font aimer encore plus la danse.

— Robert Boisclair, Les Enfants du Paradis

Avec «De la glorieuse fragilité», Karine Ledoyen parvient à livrer le résultat de sa démarche documentaire auprès d’anciens danseurs avec des tableaux dansés qui portent une joie juvénile et scintillante.

— Josianne Desloges, Le Soleil

Inspirée par l’approche de docu-théâtre de son ami et collaborateur Alexandre Fecteau, la chorégraphe a interviewé une vingtaine de danseurs professionnels qui ont tourné le dos à la scène pour diverses raisons. Leurs récits, très touchants, ont servi de point de départ à la création de la pièce. « Ce qui m’intéressait dans ce projet, c’est la fragilité. Pour moi, le fait de quitter la danse est un moment de deuil. Ce qui ressort des entrevues, c’est une parole super belle qui peut résonner dans toutes sortes de sphères de nos vies où l’on est confronté à de petits ou de grands deuils », explique Karine Ledoyen.

— Matthieu Dessureault, ULaval Nouvelles

À quelques jours des représentations de sa plus récente création, on s’est entretenu avec la chorégraphe Karine Ledoyen pour 3 minutes.. ou plus!

Vidéo