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La petite scène : danse pour tous

Jean-Francois Duke

Article de Catherine Genest paru dans VOIR le jeudi 6 mars 2014

Il y a la danse et il y a aussi les préjugés qui lui collent au postérieur. La Rotonde s’est alliée au Cercle, soucieuse de faire connaître l’art du mouvement au plus grand nombre.

Seins nus, simagrées, roulades par terre : le discours revient souvent. Les idées préconçues des mononcles ont la vie dure et c’est justement ce que souhaite combattre Jean-François Duke en s’associant avec la directrice artistique du Cercle, Caroline Simonis.

Leur concept est simple et inspiré de ce que Julie-Anne Saroyan produit depuis 30 ans à Vancouver avec Dances for a Small Stage. Grosso modo, c’est huit à neuf interprètes parfois coiffés du chapeau de chorégraphe qui viennent présenter leur travail au cours d’une même soirée. La durée maximale d’une prestation est quant à elle fixée à sept minutes. «Quand c’est court comme ça, les spectateurs n’ont pas peur de se laisser aller. T’aimes pas ça? Pas de problème. Prends une p’tite bière pis attends que ça passe», expose le Néo-Brunswickois Jean François Duke avec son accent chantant, celui qu’il peine à cacher même s’il est diplômé de l’École de danse de Québec depuis plusieurs années.

Pour la première édition, Caroline et Jean-François se sont entendus sur le vaste thème de la femme. Ils ont aussi imposé une contrainte importante aux danseuses, soit celle d’interpréter un solo de leur cru. Une condition non débattue par Lydia Wagerer, Maryse Damecour et la grande Margie Gillis, qui passait justement dans le coin pour un spectacle présenté deux jours plus tard à l’Anglicane de Lévis.

Même s’il est heureux de pouvoir compter sur une superstar canadienne de la danse contemporaine pour casser la glace, Jean-François Duke n’en démord pas. La petite scène sera d’abord et avant tout une plateforme de diffusion pour les créateurs émergents du milieu de la danse qui, comme lui, peinent à se tailler une place dans un domaine déjà saturé. «À Québec, on avait besoin de ça. On sort de l’École, on veut présenter notre travail et tout ce qu’il y a, c’est la Salle Multi, le studio d’Essai ou le Grand Théâtre. Et puis, on peut se péter la gueule en présentant une pièce de 30 minutes ou d’une heure!»

Caroline Simonis, elle, va dans le même sens et en rajoute. Selon la directrice artistique du Cercle, ce réel happening quadriannuel permettra aux créateurs invités d’expérimenter des choses, de tester leur matériel et d’échanger entre eux. Pas étonnant, donc, d’apprendre que le projet mené de main de maître par elle et Duke s’inscrit à même la programmation du Lab Vivant au Cercle. «Oui, il y a une volonté de développer un public, mais on veut aussi créer un lien intimiste entre le public et les artistes.»

La petite scène, le 12 mars à 20 h au Cercle.

Source: Voir.ca, Catherine Genest

Erratum : L’article mentionne que Dances for a Small Stage existe depuis 30 ans à Vancouver, il s’agit plutôt de 10 ans au cours desquels ont eu 30 30 éditions.

La petite scène : un lab danse flyé s’installe à Québec et Margie Gillis y sera!

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La Rotonde et Le Cercle s’associent pour la présentation de La petite scène, un laboratoire de danse contemporaine qui présente en rafale de courtes pièces dans une ambiance cabaret.

Le concept de La petite scène se veut simple et accessible : 8 artistes se relaient dans une même soirée pour présenter une courte pièce de 5 à 7 minutes avec comme seule contrainte de créer pour une scène de 10′ x 13′. Les chorégraphes sont ainsi stimulés à livrer un propos chorégraphique resserré avec un point de départ et une fin, assurant ainsi à la soirée un rythme soutenu et électrisant!

Créé dans les années 90 à Toronto par Laura Taler, le concept original Dances for a Small Stage a été amené à Vancouver en 2002 par MovEnt où Julie-Anne Saroyan assume toujours la direction de cet événement couru qui en est à sa trentième édition. Il nous fait plaisir de vous présenter cette grande première québécoise qui sera animée par Sophie Thibeault et mettra en vedette des créateurs de Québec et d’ailleurs. Les chorégraphes Annie Gagnon (Montréal), Ève Rousseau-Cyr (Québec), Karissa Barry (Vancouver), Lydia Wagerer (Québec), Marilou Castonguay (Québec), Maryse Damecour (Québec) et Nancy Lavoie (Québec) travailleront de pair avec les codirecteurs artistiques de La petite scène Jean-François Duke et Caroline Simonis.

L’équipe de La petite scène est également très fière d’accueillir Margie Gillis pour lancer cette série. Chorégraphe et interprète québécoise d’une centaine d’oeuvres, elle est principalement connue comme une spécialiste de la danse moderne. Margie Gillis s’est produite notamment en Asie, en Europe, au Moyen-Orient ainsi qu’en Amérique du Nord et du Sud. Elle est reconnue pour son charisme, son style, sa maîtrise artistique et son interprétation des diverses facettes
de l’âme humaine.

La petite scène, c’est une plate-forme où les artistes en danse peuvent s’inspirer,
échanger et présenter de manière informelle dans une même soirée!

Margie Gillis à L’Anglicane le 14 mars 2014

Margie Gillis
 

Cavatines et contrepoints
MARGIE GILLIS
14 mars 2014

Lévis, le 25 février 2014 – L’incontournable Margie Gillis danse aux quatre coins du monde et célèbre cette année ses 40 ans de carrière. Elle présentera, sur la scène de l’Anglicane le 14 mars, l’éblouissant spectacle Cavatines et contrepoints avec le danseur Tedd Robinson et la pianiste Jeanie Chung. Une invitation à se laisser porter par les mélodies et le mouvement!

Figure de proue de la danse contemporaine canadienne et récipiendaire de nombreux honneurs internationalement, Margie Gillis conquiert le public avec son interprétation magistrale des diverses facettes de l’âme humaine.

Dans Cavatines et contrepoints, elle fait splendidement écho au travail de Loïe Fuller, grande danseuse américaine qui a fait sa marque dans de grosses productions il y a plus de 100 ans.

Sur des pièces de Beethoven, Chopin, Scriabine et Debussy interprétées sur scène au piano, les deux danseurs apparaissent, en solo ou en duo, recréant l’ambiance intime des salons artistiques du début du XXe siècle.

Les tableaux dansés transportent chacun leur univers, leur esprit propre et la somme de ces scènes est saisissante. Il faut y être!

Chorégraphes : Margie Gillis, Tedd Robinson
Interprètes : Margie Gillis et Tedd Robinson
Pianiste : Jeanie Chung
Concepteur d’éclairages : Pierre Lavoie

Source : Mireille Pouliot, L’Anglicane

Stage avec The 605 Collective – 3 au 7 mars 2014 (sauf 5 mars)

L'ArtèreL’Artère, développement et perfectionnement en danse contemporaine offrira un stage du 3 au 7 mars 2014, de 10 h à 11 h 30 (sauf le 5 mars), avec The 605 Collective (Vancouver).

Ce stage est auto-géré par L’Artère, développement et perfectionnement en danse contemporaine et est possible grâce au soutien de La Rotonde. Merci de nous signifier votre intérêt de participer à ce stage, ce qui nous permettra de le maintenir. Faute d’inscriptions, nous serons dans l’obligation d’annuler les classes.

The 605 Collective

3 au 7 mars 2014 de 10 h à 11 h 30, SAUF LE MERCREDI 5 MARS

12$ membre – 15$ non-membre

Grand studio de La Rotonde, 336, rue du Roi, 2e étage, Québec

Pour vous inscrire: larteredanse@gmail.com

Description de la classe

This class is designed for strength and speed-building, introducing and drilling known and new movement patterns, finding groove, and getting sweaty. Warm up will include stretch, upper body strengthening, awakening the feet, arms, spine, and rib cage. Through a series of exercises on the floor, in the center and across the floor, we will acknowledge the weight of the body, both resting and moving through space, and find the natural or instinctual pathways and momentum that this weight creates. This class will include examples of 605′s movement vocabulary from past repertoire, as well as improvisation structures, combining techniques and styles found inside 605′s urban contemporary language. Participants will be exploring the body’s relationship with the floor, articulations and isolations of body parts at various levels, and discovering effective and safe ways to carry out large, athletic movements while maintaining raw and powerful execution.

Short Teaching Biography

Lisa Gelley and Josh Martin have been teaching “605 Collective” class since 2009. Initially designed for outreach while the company was on tour, this class has developed into an introduction to 605 movement approaches and vocabulary, as well as acknowledging the company’s collaborative process not only in creation, but also in teaching. These classes have been taught across Canada to professionals and companies, youth and adults, with various levels of experience. Josh and Lisa have been guests at professional training programs in Vancouver including Scholarship Dance, Industry Training Program, Source/ITP, and Modus Operandi, as well as Simon Fraser University.

L’enfance à travers le lit

Article de Margot Cascarre, paru sur DFdanse, le lundi 3 février 2014

Hélène Langevin nous plonge avec justesse et humour dans l’univers de l’enfance en utilisant le lit comme objet symbolique et transitionnel. Quatre lits qui nous permettent d’explorer quatre moments de l’enfance.

Ô lit!, photo article Dfdanse

Pour certains, un lit n’est qu’un meuble utilisé pour se reposer ou dormir. D’autres, comme la chorégraphe Hélène Langevin, le voit plutôt comme un lieu de rêverie, un terrain de jeux et de découvertes. Dans Ô lit!, les interprètes Guillaume Chouinard, Emily Honneger, Myriam Tremblay, Julie Tymchuck et Nathan Yaffe explorent quatre moments de l’enfance à travers le lit, symbole du passage d’un stade de l’enfance à un autre. Avec Hélène Langevin, le lit n’est plus qu’un simple meuble mais devient le territoire de tous les possibles.

Le lit du bébé : est un cocon dans lequel le nourrisson continue de grandir et de se développer, un lieu intime et douillet. Petit à petit, l’enfant glisse du lit pour acquérir les premiers gestes d’autonomie : pousser avec les mains, attraper ses pieds, se retourner sur le dos et le ventre, ramper, marcher à quatre pattes… Jusqu’à se tenir tout-à-fait debout et commencer à marcher. Le tout au rythme de gazouillis, rots et autres bruits émis par les jeunes enfants. Mimer la gestuelle du bébé semble simple au premier abord. Mais les danseurs ont dû, pour y arriver, désapprendre le mouvement de l’adulte et enlever toute coordination. Le résultat est criant de vérité.

Le lit du petit enfant : apparaît au début comme un défouloir. Une petite fille, punie par son père, se venge sur son lit. Elle y saute, donne des coups, grogne après son père… Puis elle se venge contre son énorme ours en peluche auquel elle déchire les oreilles, les bras et les jambes. La colère de la petite fille est amplifiée par la présence de trois autres danseurs qui miment sa gestuelle agressive. Mais petit à petit, la tempête se calme. Son père réussit à l’apaiser en lui racontant l’histoire de la sorcière qui pue. Guillaume Chouinard se transforme alors en formidable conteur. À l’aide de théâtre d’ombres, de jeux de lumières, d’effets sonores et d’un drap blanc, le conteur nous fait traverser l’Atlantique sur un bateau de pirates. Arrivée en Afrique, la petite fille doit alors arracher un poil de l’oreille gauche d’une girafe afin de conjurer le sort lancé par la sorcière.

Le lit de l’enfant : nous plonge dans un univers complètement différent, entre bandes dessinées et jeux vidéos. Le lit de l’enfant est devenu un champ de bataille et un territoire qu’il faut défendre. Dans un monde surréaliste, les danseurs sont devenus de véritables robots-ninjas et doivent combattre les méchants, affronter le danger et nous font des démonstrations frôlant les arts martiaux.

Le lit de l’adolescent : n’est plus vraiment ce que l’on peut appeler un lit. Il ne sert plus à dormir mais à s’amuser et faire la fête. Entièrement démembré, il se transforme en instrument de musique. Les danseurs tapent dessus avec des bâtons de bois au rythme de la musique. Il devient aussi terrain d’acrobaties : les barres du lit sont transformées en échelle, les matelas sont au sol pour amortir les réceptions des danseurs devenus des acrobates. Le lit représente alors le bruit, le désordre et la rébellion propres à l’adolescence.

Avec Ô lit!, Hélène Langevin réussit son pari de nous faire vivre quatre étapes de l’enfance à travers le microcosme du lit. Placé au centre de cette création, le lit n’est plus un simple meuble. Il devient tour à tour berceau douillet, lieu de rêverie ou encore lieu de jeux et de découvertes. En plus de la justesse dans le travail de la gestuelle, Hélène Langevin et ses cinq interprètes offrent une création remplie de souvenirs, de rêves et d’humour. Le seul point qui pourrait être négatif serait la durée du spectacle, un peu long pour un public de quatre ans et plus, qui a également moins réagi à la dernière étape de l’enfance. L’adolescence semble plus facilement compréhensible par un public plus âgé. Ô lit! nous donne une toute autre image du meuble sur lequel on dort chaque nuit. Après avoir vu cette création, on a hâte de retrouver son lit !

Source: Dfdanse, Margot Cascarre

Classes de yoga avec Sylvain Brochu

Bandeau ArtèreDu 20 au 24 janvier et du 24 au 28 février Sylvain Brochu offrira des classes de yoga tout les matins. Ce sont deux semaines pendant lesquelles L’Artère n’offre pas d’activités.

Ces classes auront lieu de 9 h 30 à 11 h 15 dans un local au premier étage de La Rotonde (336, rue du Roi, Québec).
Le nombre de participants est limité à 10.
Coût: 15$ la classe, 12$ pour les membres de L’Artère
Pour vous inscrire contactez Sylvain Brochu directement à l’adresse sylvain@eastlink.ca.

Yoga Vijnana
Le mot sanskrit vijnana se traduit par intelligence profonde ou discernement. La classe de yoga comprend une courte méditation, l’initiation de technique de pranayama de base ainsi que l’apprentissage de séquences d’asanas. Une exploration des méridiens myofaciaux vous permettra de toucher à la tenségrité dans votre corps et d’accéder à une aisance et une efficacité remarquable de mouvements. L’emphase est mise sur les poses debout et assise, mais nous toucherons aussi aux flexions avant, flexions arrière, équilibre sur les mains et inversions. En travaillant avec les 7 principes vitaux, nous irons vers une pratique qui incarne une union ente le yin et le yang.

Sylvain Brochu
Enseignant et interprète en danse contemporaine depuis plus de 30 ans, Sylvain Brochu a découvert le yoga dès l’enfance, l’a redécouvert dans les année 80 et depuis les dernières 15 années en a fait une partie intégrale de sa vie. En 2006, il complète aussi une formation de thérapeute en shiatsu. Au cours des années, il développe une connaissance profonde du corps, une expertise du mouvement peu commune et une façon pratique de transmettre ses connaissances. Il partage son temps entre le Québec et la Colombie-Britannique.

Rentrée danse – Mouvements de masse

Article de Catherine Genest paru dans VOIR, le 9 janvier 2014

La danse soulève les passions, la danse remplit les salles. En 2014, plus que jamais et incontestablement moins que demain.

Tragédie, Olivier Dubois, rentrée

Enchaîner les mouvements est une chose. Leur donner des noms en est une autre. Mais combien de chorégraphes sont-ils parvenus à développer une gestuelle qui leur est propre? Un style reconnaissable entre tous, et même pour le grand public? Ils sont extrêmement rares, ces hommes et femmes de danse, mais Marie Chouinard en fait résolument partie.

Elle pourrait se contenter de variantes, d’un assemblage de ses mouvements signature parsemés de pointes d’humour. Elle pourra s’asseoir sur ses lauriers, se contenter d’un effort minimum et (quand même) recevoir ovations et applaudissements nourris. Personne ne s’en rendrait compte. Ou presque.

Mais Chouinard se dépasse, ne tient rien pour acquis. Pourquoi faire simple quand on peut faire complexe? Tel a dû être le mantra de la Montréalaise qui présentera Henri Michaux: Mouvements, un soir seulement à Québec, spectacle au cours duquel les interprètes recréeront les dessins du peintre belge avec leurs corps. Une pièce précédée par Gymnopédies, un ballet dansé sur les œuvres du même nom du pianiste Erik Satie. Si le choix est prudent sur le plan de la bande sonore, fort est à parier que l’audacieuse créatrice saura y mettre du piquant.

Lundi 17 février à 20 h
Grand Théâtre de Québec

Le projet se démarque de par son propos, recette gagnante – outre les images fortes – pour se tailler une place de choix en tant que chorégraphe de la relève. Si Annie Gagnon a utilisé les insectes à des fins gestuelles pour son premier projet, Anne Plamondon, quant à elle, a choisi d’explorer le thème de la maladie mentale, sans sensationnalisme, sans fioritures et en se basant sur le vécu de son propre père souffrant de schizophrénie. Et si l’équilibre mental était aussi fragile que les psychiatres le laissent entendre? Et si chacun d’entre nous pouvait verser, chavirer du côté de la folie d’un moment à l’autre?

Il en résulte une pièce de danse-théâtre mentorée par l’actrice souvent engagée par Robert Lepage, nulle autre que Marie Brassard qui signe la dramaturgie ainsi que la mise en scène de cette pièce bellement intitulée Les mêmes yeux que toi.

Les 6, 7 et 8 mars à 20 h
Salle Multi de Méduse

Ils sont 18 danseurs sur scène, ils sont nus, ils seront en ville un soir seulement. Tragédie, par le Français Olivier Dubois, bouscule toutes les conventions possibles, à commencer par le système de censure de Facebook.

Reste que l’interdiction de partager quelconque photo du spectacle sur le réseau social n’a pas eu pour effet pervers de calmer les ardeurs des vrais amoureux de la danse. Les billets, dans la France tout entière, se vendent comme des petits pains chauds. Un succès explicable au-delà du cul, de la nudité et des images fortes qui en découlent. La trame sonore résolument rock et techno sur les bords de la bande-annonce qui circule sur la toile promet un sérieux coup de poing au visage de celui qui sera assis dans la salle ce soir-là de printemps.

Jeudi 27 avril à 19 h 30
Grand Théâtre de Québec

Source: Voir.ca, Catherine Genest

Séance d’information pour les deux mesures d’aide destinées aux artistes, écrivains et organismes culturels de la relève

Logo Conseil culture
 
 
 
Dans le cadre de l’Entente portant sur la relève artistique et culturelle professionnelle de la région de la Capitale-Nationale

Artistes, écrivains et organismes culturels de la jeune relève professionnelle de la région de la Capitale-Nationale, ces programmes d’aide financière sont POUR VOUS! N’hésitez pas à présenter votre projet!

INVITATION à une séance d’information
sur ces deux mesures d’aide

Venez vous renseigner!

Le Conseil de la culture et ses partenaires vous invitent à participer à une séance d’information où des personnes-ressources seront sur place pour présenter le Programme de soutien aux artistes et aux écrivains de la jeune relève professionnelle (date de tombée : le 15 février 2014) et le Programme de soutien aux organismes professionnels de la relève et de soutien à la relève (date de tombée : 10 mars 2014).

Ces programmes sont issus de l’Entente portant sur la relève artistique et culturelle professionnelle de la région de la Capitale-Nationale, qui vient d’être prolongée pour la prochaine année.

Date et lieu de la séance
Séance destinée aux artistes, aux écrivains et aux organismes de la relève et de soutien à la relève
(Fiche d’inscription plus bas)

Jeudi le 16 janvier 2014, de 9 h 30 à 12 h
Maison de la coopération et de l’économie solidaire
155, boul. Charest Est, Québec (salle 3, sous-sol)

Vous pourrez avoir accès aux informations relatives à chacun de ces deux programmes par le lien suivant: https://www.culture-quebec.qc.ca/services-perfectionnement/financement-regional/ à compter du 14 janvier 2014.

Inscription

Pour participer à la séance, vous devez vous inscrire en retournant les informations demandées ci-dessous à julie.veillet@culture-quebec.qc.ca

Important : À la suite de la séance d’information en groupe, la possibilité de rencontrer un(e) conseiller(ère) en consultation privée vous est offerte. Si vous souhaitez avoir une rencontre individuelle, il est essentiel de le préciser en faisant votre inscription. Les places étant limitées, la priorité sera donnée aux premières personnes en ayant fait la demande.

FORMULAIRE*
*Merci de compléter ce formulaire et de le retourner à julie.veillet@culture-quebec.qc.ca

Prénom et nom : _________________________________

Organisme (s’il y a lieu) : _________________________________

Discipline : _________________________________

Numéro de téléphone : _________________________________

Adresse courriel : _________________________________

Je suis un / une : ____ Artiste ou écrivain de la relève

____ Organisme de la relève ou soutenant la relève

Je désire rencontrer un(e) conseiller(ère) en consultation privée (rencontre d’environ 10 minutes).
OUI ____
NON ____

L’Entente de partenariat portant sur la relève artistique et culturelle professionnelle de la région de la Capitale-Nationale a été rendue possible grâce au travail de collaboration de la Conférence régionale des élus de la Capitale-Nationale, du Forum jeunesse de la région de la Capitale-Nationale, du Conseil de la culture de la région de Québec, du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Centre local de développement de Québec et du ministère de la Culture et des Communications.

Au plaisir de vous rencontrer à cette séance d’information !