Originaire de Toronto, Scott McCabe a obtenu son diplôme de la Juilliard School en 2013. Il s’est produit avec Gallim Dance tout en terminant ses études. Scott a été membre de la Ate9 Dance Company de 2013 à 2015 avant de rejoindre la Compagnie Marie Chouinard de 2015 à 2020. Scott est également un praticien d’Ilan Lev.
Janet Dundas conçoit, coupe et confectionne des vêtements pour la mode, le cinéma et le théâtre depuis plus de 50 ans.
Alesandra a étudié divers styles de danse, de musique, de théâtre et d’arts martiaux. Pendant qu’elle complétait son BFA au Alonzo King LINES Ballet (2020), elle a commencé sa carrière en se produisant avec dawsondancesf. Depuis qu’elle a obtenu son diplôme de Modus Operandi (2023), Alesandra a travaillé avec Ralph Escamillan, Nasiv Sall et Radical System Art, Khoudia Touré et Joshua Beamish/MOVETHECOMPANY. Alesandra collabore avec Kaia Shukin et Isak Enquist en tant qu’associée à la conception sonore, en plus d’avoir présenté ses propres œuvres en collaboration avec Brianne Chan à Boombox et Chalk it Up, et de coanimer des All Styles Jam Sessions.
Adam Khazhmuradov est né au Kazakhstan, a grandi en Belgique et est maintenant basé aux Pays-Bas. Il a commencé à danser avec des styles de rue comme le hip-hop, la house et le breaking. En 2015, il a étudié à l’Université des Arts d’Amsterdam. Par la suite, il a dansé pendant cinq ans avec la compagnie Hofesh Shechter. Adam a travaillé pour divers chorégraphes, notamment Club Guy and Roni, Ivan Perez, Maxine Doyle, Amos Bental, Yoann Bourgeois, Dalton Janssen et Out Innerspace. En parallèle, il apprécie également le travail commercial et investit dans ses intérêts chorégraphiques.
Scénographe multidisciplinaire, elle axe sa pratique sur des œuvres en relation avec leur environnement. Elle travaille depuis plus de dix ans avec différent·es artistes, compagnies et collectifs sur des projets de création dans la ville, en galerie ou sur la scène. Parmi les dernières collaborations de Karine, on retrouve les compagnies multidisciplinaires l’Eau du bain et Un et un font mille, les chorégraphes Estelle Clareton, Martin Bélanger et Brice Noeser, les metteurs en scène Louis-Karl Tremblay et Sébastien David ainsi que le Carrefour international de théâtre pour lequel elle a fait la scénographie de trois stations du parcours Où tu vas quand tu dors en marchant ?.
Jacqueline van de Geer est Néerlandaise et s’est installée à Montréal en août 2005. Sa ville de naissance est Rotterdam, un endroit marqué, qui a été bombardé deux fois pendant la Deuxième Guerre mondiale. Grandir dans une ville en constante reconstruction lui a enseigné à « faire beaucoup avec presque rien » — approche utilisée dans sa pratique. Intimité et reconnexion sont les mots clés de son travail dont le but est d’ouvrir l’expérience collective des participants. Parmi les inspirations de son travail, on retrouve la vie quotidienne, Dada, le surréalisme et les mémoires personnels. Depuis son immigration au Canada, elle a développé des performances et des installations interactives qui touchent droit au cœur des participants, créant ainsi un espace dans lequel l’auditoire est invité à participer. L’objectif est de transformer la distance entre Artiste et Spectateur dans une rencontre où la distance sera presque résolue. Dans le domaine des arts visuels, elle fait des collages et des assemblages en réutilisant des matériaux et des objets trouvés dans les archives, les journaux et les marchés aux puces.
Meï Thongsoume est originaire de France. Dès l’enfance, elle découvre l’art de bouger à travers la gymnastique rythmique et sportive (qui mêle gymnastique et danse, explosivité et créativité). En grandissant, elle nourrit un intérêt particulier pour l’essence du mouvement. Elle tombe amoureuse du ballet et découvre, par la suite, les techniques de danse contemporaine et de jazz.
Avide d’apprendre, elle débute sa formation professionnelle au Conservatoire de Vienne. En 2017, elle est reçue au Conservatoire de Chalon-Sur-Saône en danse-études, où elle continue sa spécialisation en danse contemporaine qu’elle termine finalement au Conservatoire d’Avignon en cycle de perfectionnement, troisième et ultime conservatoire d’un brillant début. Par la suite, elle choisit le Centre chorégraphique Calabash où elle intègre le cursus jeune ballet. En 2021, elle entame le programme DEC technique Danse-interprétation à la Formation supérieure en danse contemporaine de l’École de Danse de Québec. Les différents styles de danse qu’elle apprend lui permettent de cultiver la passion qu’elle voue au mouvement du corps.
Pour Meï, le corps est un instrument virtuose. L’infinité des mouvements et des rythmes épousent les sensations de l’esprit. Meï célèbre le mariage du spirituel et du corporel : son sens aiguë du détails, son ingénue curiosité et sa détermination féroce forment un cocktail explosif qui coule dans ses veines et alimente sa passion intarissable pour l’univers de la danse.
Très jeune, Héloïse Le Bagousse développe un intérêt pour la danse dans les studios d’une petite école française. Son désir d’indépendance l’incite à quitter le cocon familial à 14 ans pour étudier la danse au Conservatoire de Nantes. En 2020, elle intègre la formation supérieure en danse contemporaine de L’École de danse de Québec.
Constamment à la recherche de nouvelles approches du mouvement, elle suit de nombreux stages qui teintent son interprétation telle que celui offert par l’Académie internationale du Domaine Forget ou encore le stage offert par Transformation à Montréal avec Hofesh Shechter
Parallèlement à sa formation d’interprète, elle cherche à développer ses réflexions et à aiguiser son regard sur le monde qui nous entoure en s’intéressant à la philosophie, à la politique et au théâtre. C’est notamment grâce à cette grande curiosité et à sa détermination qu’Héloïse est nommée deux années consécutives, en 2021 et en 2022, pour la bourse d’excellence de l’EDQ.
En août 2023, elle présente sa première pièce chorégraphique, pour 7 interprètes, intitulée La Pomme de Discorde dans le cadre du Festival de danse contemporaine de Sherbrooke.
Pour elle, la danse n’est pas simplement qu’une forme d’expression ; c’est surtout une démarche spirituelle lui permettant d’atteindre son moi profond et, ainsi, d’accéder au divin.
