La Rotonde
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Beauté brute
Beauté brute
Beauté brute

Beauté brute

Saison 2016-2017
15, 16, 17 mars 2017, 20h
30 minutes
Prévente : 20 $ Aîné / Étudiant : 25 $ Général : 30 $
3 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 16 mars

Par le biais du langage Gaga, le collectif LA TRESSE développe une esthétique où la précision cohabite avec le chaos. Inspirée par la tension entre la fragilité et la fougue, l’humanité et l’animalité, Beauté Brute nous emmène dans un monde parallèle empreint d’une insondable mystique. Trois femmes-créatures s’y rencontrent et livrent un engagement total du corps, armées d’une physicalité singulière. Habitées d’une même pulsion, elles explorent leur rapport au désir et puisent dans leurs fantasmes l’essence même de ce qu’elles révéleront aux spectateurs. En mêlant leur grain de sel dans les rouages de la mécanique du beau, les cocréatrices nous invitent à saisir l’expression d’une féminité atypique décomplexée et nous offrent une occasion rêvée de renouer avec l’élégance de l’anomalie!

Crédits
Équipe artistique
Dans les médias
La parole au public

Chorégraphie et interprétation : Geneviève Boulet, Erin O’Loughlin, Laura Toma
Trame sonore : Camille Jacques
Lumières et direction technique : Hugo Dalphond
Conseil artistique : Veronica Benz, Marianne Gignac-Girard
Costumes : Gina Osorio
Vidéo : Jose Enrique Montes-Hernandez
Soutien à la création : Conseil des arts du Canada et Alberta Foundation for the Arts, École de Danse Louise Lapierre
Photos : Valérie Boulet, David Wong

Geneviève Boulet

Geneviève
Boulet

Chorégraphe-interprète
Erin O’Loughlin

Erin
O'Loughlin

Chorégraphe-interprète
Laura Toma

Laura
Toma

Chorégraphe-interprète
Hugo Dalphond

Hugo
Dalphond

Lumières
LA TRESSE

LA TRESSE

Production

La Rotonde propose un programme double les 15, 16 et 17 mars 2017, avec Corps gravitaires et Beauté brute. Notre chroniqueuse Vanessa Bell nous parle de ce deux pour un dansant.

— Vanessa Bell, CKIA

Mickaël Bergeron vous parle du plateau double présenté par La Rotonde: Corps gravitaires de Geneviève Duong et Beauté brute du collectif La Tresse.

— Mickaël Bergeron, CKIA

C’est un agréable vent de fraîcheur que propose ce programme double dansé. Si Corps gravitaires est plus cérébral et asexué, Beauté Brute est plus instinctif et féminin. Dans les deux cas, la proposition est plus qu’intéressante.

— Robert Boisclair, Les Enfants du Paradis

Le centre chorégraphique La Rotonde conviait mercredi le public à découvrir des œuvres de chorégraphes de la relève. Entre l’excès d’introspection et l’excès d’exagération, nous avons eu droit à des pièces qui ne manquaient pas d’intérêt, mais certainement de nuances.

— Daphné Bédard, Le Soleil

La proposition est originale, fascinante et brillamment interprétée. Elle est également trop brève.

— Gabriel Marcoux-Chabot, Le Devoir

Marie-Eve Muller vous parle de Beauté Brute dans La parole au public !

Quel spectacle t’as habité longtemps ?

« C’était lors d’un plateau double. L’énergie des trois danseuses, leur jeu ludique, leur performance physique : tout était réussi. C’était ironique, poignant, bien ficelé. J’ai longtemps rêvé de leur énergie et espéré les revoir. Le contraste dans les corps, le jeu entre féminité et enfance, c’était époustouflant ! »