



Corps Gravitaires
Dans Corps Gravitaires, trois interprètes se meuvent, s’enchevêtrent et interagissent, comme des atomes ou des cellules dans un environnement incertain en constante évolution. Geneviève Duong, inspirée par les sciences de la santé, crée une atmosphère où la vulnérabilité de l’humain se trouve à la merci des lois physiques. La musique du violon jouée sur scène agit telle une énergie de liaison qui permet à la matière du corps de trouver cohésion et organisation. Bien plus distrayant qu’un traité de biologie moléculaire, le jeu d’interdépendance entre les danseurs exprime une réflexion profonde sur le besoin de complémentarité et d’équilibre des composants de l’univers, de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
Chorégraphie : Geneviève Duong
Interprétation : Amélie Gagnon, Odile-Amélie Peters, Lila-Mae Talbot
Musique : Benoît Fortier (composition) et Inti Manzi (interprète)
Lumières : Luc Vallée
Répétitrice : Sonia Montminy
Apprentie : Alexandra Jacques
Mentor : Jean-Philippe Joubert
Soutien à la création : Première Ovation, Conseil des arts et des lettres du Québec, La Rotonde, Chantiers du Carrefour international de théâtre et Festival Vue sur la Relève
Photos : Martin Bélanger, Nicola-Frank Vachon


Geneviève
Duong


Amélie
Gagnon


Odile-Amélie
Peters


Lila-Mae
Talbot


Benoît
Fortier


Inti
Manzi


Luc
Vallée


Sonia
Montminy


Alexandra
Jacques


Jean-Philippe
Joubert
Laurie Gaudichon vous parle de Corps gravitaires dans La parole au public !
Quel spectacle a eu un impact important dans ta vie ?
« J’avais 15 ans quand je suis allée voir ce spectacle et j’ai trippé comme jamais. Il y avait tout d’abord le violon sur scène, la musique en live, ça ajoute tellement de force au spectacle. Puis la danse en toute fluidité et simplicité, c’était hypnotisant. L’artiste sur scène, Geneviève Duong, était ma professeure au secondaire. J’étais tout simplement impressionnée par son talent. Finalement, c’est ce spectacle qui m’a donné envie de danser. »