La Rotonde
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Solitudes duo
Solitudes duo
Solitudes duo

Solitudes duo

Saison 2017-2018
19, 20 avril 2018, 20h
65 minutes
Prévente : 25 $ Aîné / Étudiant : 30 $ Général : 36 $
7 artistes sur scène Discussion avec les artistes après la représentation du 19 avril

Solitudes duo constitue la suite logique du cycle de création amorcé par Daniel Léveillé avec Solitudes solo, que nous avions présenté à Québec en mars 2016. Au programme : splendeurs et misères du couple, identités à fondre ou à défendre dans la blancheur immaculée d’un espace limité et liberté à trouver dans la contrainte de la relation. Les corps se lovent, s’envolent dans d’acrobatiques et tendres portés, s’effondrent sous le poids du mépris. Les semblables se rencontrent en miroir. La nature du lien se lit dans les regards, les tensions de la chair, la qualité du contact. Pudeur, passion, indifférence, affection et gourmandise s’expriment au son de clavecins et violons baroques et de rock psychédélique des années 1970. Force, grâce et émotion se conjuguent dans une danse exigeante qui, par le prisme de la physicalité, révèle l’éloquence brute des corps en interrelations.

Crédits
Équipe artistique
Dans les médias

Chorégraphie : Daniel Léveillé
Interprétation : Mathieu Campeau, Ellen Furey, Esther Gaudette, Justin Gionet, Brianna Lombardo, Emmanuel Proulx, Simon Renaud
Musique : Jean-Sébastien Bach, Pancrace Royer et autres classiques contemporains
Lumières : Marc Parent
Costumes : Geneviève Lizotte
Répétition : Sophie Corriveau
Photos : Denis Farley

Daniel Léveillé

Daniel
Léveillé

Chorégraphie
Mathieu Campeau

Mathieu
Campeau

Interprétation
Ellen Furey

Ellen
Furey

Interprétation
Esther Gaudette

Esther
Gaudette

Interprétation
Justin Gionet

Justin
Gionet

Interprétation
Brianna Lombardo

Brianna
Lombardo

Interprétation
Emmanuel Proulx

Emmanuel
Proulx

Interprétation
Simon Renaud

Simon
Renaud

Interprétation
Marc Parent

Marc
Parent

Lumières
Sophie Corriveau

Sophie
Corriveau

Direction des répétitions

Dans cette chorégraphie où les corps se dirigent fermement les uns envers les autres à la recherche d’une union définitive – que ce soit sous la forme d’une douce séduction ou d’une invasion aux accents guerriers – la solitude se retrouve précisément dans la conscience du fait qu’en fin de compte il n’y a pas d’union définitive entre deux corps humains.

— Béatrice Lapadat, LiterNet