Programme de soirée
La Rotonde présente en programme double Le paradoxe des horloges de Héloïse Le Bagousse et Meï Thongsoume et À toutes les dames qui portent un jupon de Marie-Chantale Béland, diffusé avec le soutien de Première Ovation.
Le paradoxe des horloges
À propos du spectacle
Les jeunes créatrices Héloïse Le Bagousse et Meï Thongsoume peignent une fresque gracieuse inspirée du concept du temps, ce paradoxal mélange d’instant et d’éternité.
Avec une complicité palpable, le duo ouvre une fenêtre sur ce monument de la pensée philosophique qui obséda, obsède et obsédera. Le temps qui passe, file, ralentit et se fige sans jamais s’arrêter se traduit dans des mouvements complexes et précis, teintés de théâtralité. Les artistes remettent au goût du jour l’esthétisme du mouvement en puisant dans leur bagage composé d’arts classiques, de philosophie, de psychologie, de spiritualité, de politique et de mode. Sur des airs de Bach et de Vivaldi, Le paradoxe des horloges transporte dans un monde d’harmonie et de beauté.
L’équipe derrière le spectacle

Héloïse
Le Bagousse

Meï
Thongsoume

Luc
Vallée

Emmanuelle
Lê Phan

Johanne
Dor
Crédits complets
Chorégraphie et interprétation : Meï Thongsoume et Héloïse Le Bagousse
Musique : Vivaldi Vedrò con mio diletto interprété par Jakub Jòzef Orlinski, Jean-Sébastien Bach Concerto pour piano et orchestre n°5 interprété par Glenn Gould
Direction technique, lumières et régie : Luc Vallée
Musique : Ceremony composée par Hélène Vogelsinger, Una Unica Parola & Ending composé par Antonio cortesi & Luca Longobardi.
Mentorat : Emmanuelle Lê Phan
Répétitrice : Johanne Dor
Captation et réalisation vidéo : Justine Matray
Photos : David Cannon
Résidence de création : La Rotonde
Remerciements : Maison pour la danse, Capucine Dupasquier, Stanislas Franck, Guillaume Lévesque, Théâtre jeuness Les Gros Becs, Musée de la civilisation, Lemieux, Marmiton pizza, Les Salons d’Edgar, Boutique Séraphin, Justine Matray pour la captation vidéo
À toutes les dames qui portent un jupon
À propos du spectacle
Première œuvre chorégraphique de l’artiste émergente de Québec Marie-Chantale Béland, À toutes les dames qui portent un jupon est une célébration de l’affirmation de soi, une invitation à prendre, enfin, la place qui nous revient.
Inspiré de la vidéo du mariage des parents de la chorégraphe, le spectacle nous immerge dans une mémoire familiale où s’entrechoquent à petite échelle les dynamiques sociétales. En filigrane des images d’archives émergent des stéréotypes et des préjugés sexistes, principalement envers les femmes. En guise de réponse à ce portrait suranné, Marie-Chantale Béland met en scène trois protagonistes féminines – sa mère et ses tantes – qui occupent, tour à tour, entièrement la scène. La sororité s’y révèle comme un acte d’empowerment, un antidote à l’invisibilité autrefois prescrite.
L’équipe derrière le spectacle

Marie-Chantale
Béland

Sarah
Audet-Belzile

Stefania
Skoryna

Elizabeth
Crispo

Sarah-Jane
Savard

Léa
Bernier

Luc
Vallée
Crédits complets
Chorégraphie : Marie-Chantale Béland
Interprétation : Sarah Audet, Stefania Skoryna, Elizabeth Crispo, Sarah-Jane Savard
Interprète-apprentie et doublure : Léa Bernier
Musique : Simon Coovi-Sirois
Mentorat : Caroline Simonis, Harold Rhéaume
Lumières : Luc Vallée
Scénographie et costumes : Laurie Carrier